Bonjour à tous,
Oui c’est vrais, je suis encore à la traine pour écrire mes récits mais, en ce moment, j’ai un travail monstre aussi bien à mon travail qu’à la maison, c’est la vie.
Je vous souhaite une bonne lecture.
Sophie c’est bien présentée à notre rendez-vous, vêtue comme convenue, un superbe tailleur très féminin, pour le reste de l’engagement, j’attendrai d’être dans l’appartement pour vérifier.
Elle est venue vers moi, toute souriante, ma embrassée chaleureusement et m’à précisée à l’oreille, qu’elle n’avait pas de dessous conformément à mes ordres.
Je passe ma main le long de son dos, glisse petit à petit celle-ci vers la chute de reins de mon jouet et sans grande discrétion, au vu des passants, lui caresse les fesses de façon à bien faire comprendre aussi bien à ma soumise qu’aux autochtones qu’elle est à moi, corps et âme et que je peu en faire ce qui me plait.
Sophie est à la fois gênée et excitée par cette situation au qu’elle elle ne s’attendait pas, pour ma part, l’effet esconté me parait atteint.
Pendant qu’elle se trouve dans ces pensées et c es fantasmes, je saisis son poignet et l’entraine rapidement vers le lieu de destination.
J’ouvre la porte, lui donne l’ordre d’entrer, referme la porte à clé.
Dans ce couloir étroit, je lui donne l’ordre de retrousser sa jupe, de s’agenouiller, de mettre les bras dans le dos, de mettre ces mains l’une contre l’autre et d’attendre mon bon plaisir.
Au bout d’un bon moment, je lui ordonne de se mettre à quatre pattes, sa jupe toujours retroussée, laisse apparaitre les fesses rose et joufflues de ma soumise, je saisis un martinet et commence à fouetter ces rondeurs pour leurs donner un peu plus de couleurs.
Mes assauts sur ces fesses, donne l’occasion à ma chose de s’exprimer, mélangent plaisir et petite douleur fortement réclamée.
Ces cris, ces gémissements m’excite fortement, je saisie une paire de menotte dans mon sac, les places sur ces poignets situés dans son dos, prend une lanière de type collier pour lui attacher les chevilles, prend également dans le sac de quoi lui bander les yeux, j’ouvre son chemisier, saisie une chainette équipée de pince sein, tire vigoureusement sur ces tétons et place dans la foulé, les pinces sur chaque téton, prend la chaine dans son milieux, je sort ma verge de mon slip et l’introduis sans crier garde dans la bouche de mon jouet en lui intiment l’ordre de ma donner du plaisir.
Ma soumise commence des va et viens sur ma verge gonflée d’excitation, pendant ce temps, je tire fermement sur la chainette, tirent sur ces tétons et continu à lui fouetter les fesses.
La malgré la bouche plaine, ma soumise émet des sons forts, crient de vérité sur sa son plaisir et sa jouissance.
Le spectacle visuel et sonore m’invite à éjaculer dans sa bouche, ce lâché d’hormone, provoque chez moi une jouissance t’elle que dans le même temps, je tire encore plus fort sur le pince seins et fouette un peu plus fort les fesses de ma soumise provoquant chez elle, un orgasme haut en décibels qui ma beaucoup plu.
Je me penche vers elle, lui ressuie le bord des lèvres avec un mouchoir en papier et sans lui laisser le temps de respirer, l’entraine dans la pièce d’à coté ou trône un meuble très particulier.
Ma soumise regarde cet objet avec une grande curiosité, c’est une chaise mais, fixé deux gods de taille et de forme différente avec, une inclinaison différente également.
Je saisie le cou de mon jouet, lui passe un collier et une lèse autour de celui-ci, lui ordonne de ce mettre à quatre pattes et de se diriger vers cette chaise.
La voici devant, elle me regarde avec un air interrogateur, je lui énonce le programme, tu va lubrifier ces deux gods avec ta bouche, te relever, te pénétrer avec ceux-ci en prennent place sur cette chaise.
Elle c’exécute et commence une fellation sur un des deux gods, elle passe de l’un à l’autre et de la voir ainsi à quatre pattes entrain de sucer ces deux sexes virtuels, me donne rapidement l’envie de passer à l’étape suivante.
Je lui intime l’ordre d’arrêter, de s’assoir sur ma superbe chaise faite maison.
Elle se lève, retrousse plus fortement sa jupe, écarte les jambes et doucement, très doucement s’empale sur les deux gods bien lubrifiés par ces soins.
Le premier entre facilement dans son vagin, l’autre par contre à plus de mal à pénétrer l’anus, pourtant avec la séance du martinet, cela devrais entrer tout seul.
Voila ma soumise est prise par ces deux sexes virtuels, je prends mon sac, en sort mes cordes oui, enfin me direz-vous, j’attache son buste, ces seins fermement aux barreaux de la chaise, fait de même à ces jambes avec de multiple liens attachent ces chevilles, ces mollets, ces cuisses aux pieds de la chaise, la rendant complètement solidaire à celle-ci.
Je prends un bandeau, lui applique sur les yeux la plongent dans l’obscurité et les fantasmes, sort un bâillon pénis, lui introduit dans la bouche, verrouille celui-ci dans le cou.
Mon jouet, ma soumise est complètement prisonnière de mes cordes, dans le noir complet, bâillonnée par un petit pénis artificiel est prise par les deux autres dans les orifices que la nature lui a offerte.
Je lui caresse les jambes, le ventre, les seins, tire sur les pinces seins toujours sur ces tétons, cela provoque des tremblements de ces membres, des gémissements des cris étouffés par le bâillon, sa peau se recouvre de chaire de poule.
Ma soumise est prête pour la suite au qu’elle, elle ne s’attente surement pas.
Je prends les deux télécommandes des gods et oui, je ne vous ai pas dit, ils sont vibrants avec, variateur, le top du plaisir non ?
J’actionne en simultané les télécommandes, des cris qui doit être très forts quand le sujet n’est pas bâillonné se fait entendre, elle bouge tellement que la chaise se déplace, sa poitrine se gonfle au rythme de ces cris, un premier orgasme se fait entendre puis, un autre dans la foulé, presque aussitôt, je coup les impulsions, viens auprès d’elle, la caresse à nouveau, ces seins sont dur par le plaisir, elle respire comme un petit chien ou devrai gé dire comme une petite chienne, je retire une pince et commence à titiller son téton entre mes lèvres, avec ma main, je fait de même avec son clitoris, je la rend folle, elle ne sais plus ou elle en n’ai, les gémissements qui se transforme rapidement en cri puits en orgasme se font entendre, je sent tous son corps vibrer, elle est en complète symbiose avec le plaisir, dans l’incapacité de se contrôler, juste subir le plaisir extrême qui lui provoque deux orgasmes supplémentaire.
Je profite de ce moment pour d’un coup, réactiver les deux gods en position maximale, ce qui provoque chez ma soumise des hurlements à peine étouffé par le bâillon, une cascade d’orgasme qu’elle ne peut contrôler, elle n’est plus maître de son corps et le plaisir que cela provoque est t’elle que sa vessie se relâche inondent la chaise et le sol.
Complètement épuisée par la séance, je la détache pour qu’elle puisse se remettre de ces émotions.
Toute tremblante, dans l’impossibilité de s’exprimer, elle s’allonge sur le divan pour reprendre son souffle et ses esprits.
Après que ma soumise est récupérée son souffle et son esprit, je lui ôte sa veste, sa jupe, elle est maintenant nue, juste son porte jarretelle, ces bas et ces escarpins à talons aiguille pour lui tenir chaud.
Je prends des cordes, lui attache le buste, les seins, prends d’autre cordes, lui lie les cheville aux cuisses, tire une autre corde à chaque cuisses pour les tirer vers le buste, fait un noueux au niveau de chaque épaules ce qui empêche les jambes de se replier, les maintenant en l’air, ces talons bien en vu, lui bâillonne la bouche et je la prends sexuellement ainsi offerte et complètement à ma disposition.
Nous avons jouie tout deux et une fois terminé, un petit échange d’impression, de suggestion, de ressenties pour avant de la laisser partir, lui ordonne de nettoyer à quatre pattes pour mon plus grand plaisir visuel.
Voila, quand pensez-vous ?
Cordialement
Maître Fred.
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