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Bonjour,

Voici l’histoire de ma rencontre avec Carole.

Carole est une jeune femme de vingt huit ans, un mètre soixante dix pour cinquante quatre kilogramme, les cheveux blonds et long, les yeux bleus, un corps fin et élancé, une jolie silhouette.

Sans profession, mère au foyer ou elle garde ces deux jumeaux.

Carole a un fantasme de plus en plus puissants et présent en elle, depuis qu’elle à découverte sur le net, le Bondage.

 Surfant sur le net pour trouver divers sujet, Carole est tombée sur une page amateur ou une jeune femme expliquait sa passion pour le Bondage.

 Les photos sur la page de cette jeune femme, montrai ces réalisations de self Bondage, ainsi que des photos prises sur divers site internet spécialisés.

Carole est restée scotchée devant ces photos qui attirai son regard avec une insistance plus que fascinée.

Elle commença à lire les récits de cette jeune femme sur ces expériences, ces ressenties lorsqu’elle s’attacha seul dans sa chambre, ces petite astuces pour ce ligoter seul ce qui n’est pas du tout facile, ainsi que sont désire d’être attachée par une autre personne pour être vraiment prisonnière de ces cordes et être possédée virtuellement non pas par le sexe, mais par l’esprit, le subconscient.

Carole a dévorée ces pages avec une curiosité qui est devenue au fil des jours, un besoin, presque une drogue.

Un jour, Carole  à tentée l’expérience de ce ligoter elle-même dans sa chambre pour voir et ressentir les sensations et le plaisir qui en découle, dument expliqué par cette jeune femme sur son site.

Carole est partie acheter dans un magasin de bricolage, les cordes conseillées sur le site.

Rentrée chez elle, Carole commence par dérouler sa bobine de corde achetée ce matin même, coupe des longueurs comme indiqué sur le site et une fois avoir fixer du chatterton aux extrémisées de chaque longueur de corde pour évitées qu’elle ne s’effiloche, monte sur son lit, prends une longueur de corde et commence à se lier ces chevilles.

Une fois ces chevilles attachées, Carole les regardent, attend un peu pour voir et ressentir.

Elle prend une autre longueur et s’occupe de ligoter ces mollets, ces cuisses.

Carole regarde ces jambes ainsi attachées, prisonnière des cordes qu’elle a elle-même mise en place, les caressent, les touchent.

Au bout d’un moment, les yeux fermés et les fantasmes aident, Carole commence à ressentir des sensations intéressantes, un peu de chaleur dans la colonne vertébrale et entre es jambes.

Carole ouvre les yeux et se caresse, sont corps, ces seins, son sexe.

Au bout d’un moment, elle se détache et doit penser à aller chercher les jumeaux à l’école.

Toute en marchant, Carole repense à cette première expérience qu’elle a trouvée forte intéressent et au fond, une nouvelle tentative ne serrai pas de refus.

Toute la soirée, Carole ne pense qu’à cela, attend le lendemain pour essayer à nouveau quand les Enfants seront à l’école.

Le lendemain, Carole récupère ces longueurs de cordes cachées dans le sous sol de la maison et se précipite dans sa chambre.

Elle s’allonge sur son lit et commence à s’attacher les jambes.

Une fois ces jambes ligotées, Carole tente de ce ligoter les poignets comme elle la vue expliquer sur le site mais, cela n’est vraiment pas facile et de plus, la peur de ne pas pouvoir se libérer à temps lui provoque une peur bleu.

Carole laisse tomber pour cette fois et se contente du ligotage de ces jambes.

Après ce petit moment de contrainte, Carole se remémore les sensations qu’elle a ressentie au moment ou ces jambes étais attachées et elle trouve, que cela étais plus fort que la première fois, que les fantasmes et le plaisir se mélange et lui apporte une certaine jouissance.

Carole pense qu’il temps d’écrire à cette jeune femme sur le site et de dialoguer avec elle, lui poser des questions bref, elle veut en savoir plus sur cette pratique.

La jeune femme lui répond avec beaucoup de gentillesse et un échange de mail ce fait régulièrement.

Carole commence à métriser de plus en plus ces cordes grâce au conseille de sa correspondante.

Après mainte et mainte aisés, Carole arrive à s’attacher pieds et poings et de se libérer comme elle l’entend.

Carole prends un grands plaisir à s’attacher, une fois prisonnière de ces cordes, de son bâillon boule, elle jouie de ces orgasmes seul dans sa chambre.

Cela dur presque une année  mais, Carole comprend que le plaisir est d’être ligotée par une autre personne et non par soit même, elle en parle à sa correspondante par mail et c’celle-ci avoue effectivement que le plaisir d’être ligotée, attachée par d’autre mains est le nec plus ultra de cette passion.

Carole réfléchie et la seul solution qu’elle envisage est d’en parler avec son mari mais, comment aborder la chose, au cours d’un gros câlin dans leurs intimité, lui demander une écoute attentive et de la comprendre ?

Carole n’ose pas et décide de demander conseil à sa meilleur amie, Catherine qui a elle une activité sexuelle bien remplie et libre de toute en prise  familiale ou de conjoint.

Carole invite Catherine  chez elle à un petit bruche dans l’après midi et, après bien des excitations demande à Catherine son avis sur un sujet délicat et très personnel avec, la promesse de ne jamais en parler à qui que se soit et surtout pas à son mari.

Catherine  d’un visage sérieux et à l’écoute promis à Carole que cela ne sortira jamais de sa bouche.

Carole commence à lui raconter, la découverte de cette pratique sur internet, sa correspondante avec la jeune femme du site et ces expériences, sa déception aussi de ne pas réussir à vraiment se sentir prise et contrainte par ces propre cordes, se manque de quelque chose qu’elle à mis un moment à comprendre et que la seul et unique solution est d’être attachée par une tierce personne.

L’exposé terminé, Carole regarde l’expression de visage de Catherine pour voir si elle est choquée par ce récit ou au contraire, connaissant Bénédicte intéressée par cette pratique qui a l’air bien excitante.

Catherine  répond à Carole, oui je connais cette pratique, tu pense bien, que j’ai déjà essaye,  toujours prête à découvrir, de nouvelles expérience, temps qu’elles peuvent m'apporter du plaisir, je suis patente.

Carole pas étonnée du tout de la réponse de Catherine, se sent rassurée, plus zen car, un peu gênait d’être ainsi tentée par une expérience intime un peu hot pour son éducation.

Carole demande à Catherine comment elle avait testée cette pratique.

Catherine  répond qu’une fois, elle avait rencontrée un Homme, qui l’avais dragée avec une certaine fermentée.

D’habitude explique t’elle, les Hommes sont comme qui d’irais à ces pieds et que la, cet Homme étais plutôt en pays conquit

Sur le coup, je rejette cette Home en lui fessant comprendre que je n’étais pas la pour pleurer vers un Homme qui veulent bien la baiser.

L’Homme ne se dégonfle pas et reviens à la charge pour m’expliquer que n’avais pas comprise sa façon d’être et que d’habitude, il avait affaire à des soumises.

La, la curiosité aident,  je me  rapproche de cet Home et lui demande plus de détail sur ces fameuses soumises.

L’Home commence  à m’expliquer qui est adepte du Bondage, de la soumission et qu’il aime contraindre des femmes et des jeunes femmes à ces jeux sensuels.

Je suis  toute excitée par les dire de cette Home et lui demande encore plus de détails.

L’Homme m’explique qu’il a un site internet, ou il rencontre et raconte ces expériences avec des femmes de tout âge, pour les dominer et pratiquer sa passion pour le Shibari.

Je suis étonnée par cette Homme et ce mot Shibarii, ne me dis rien.

L’Homme m’informe  que le terme Shibari et d’origine Japonaise et que souvent, le mot utilisé en Europe est le bondage.

L’homme me montre  des photos qu’il à sur son téléphone mobile la, je regarde ces photos avec envie, l’Homme me dis que les femmes aiment être prise par un Home virile et qu’elle soit à leurs merci au plus profond elle-même mais, la plus part ne veulent l’accepter ou le reconnaitre.

L’Homme voie mon regard et en profite pour mettre sa main sur ma cuisse et me glisse à l’oreille, je me nôme Maître Fred et veux tu tenter l’expérience ?

J’avoue qu’il m’a prise de court et que j’ai répondue oui un peu rapidement.

Tu me connais Carole, pour prendre mon pied, je suis toujours prête à suivre un Homme.

Je pars donc avec ce Maître Fred dans un hôtel non loin de la, il m’annonce que l’on doit faire un petit détour par le parking ou se trouve sa voiture pour qu’il prenne son sac à malice.

Sac à malice, qu’entent il par la, je lui pose la question et il me répond que dans ce sac, il y a tout les accessoires et gadget pour faire de moi une soumise heureuse.

Je t’avoue Carole, que l’ors qu’il m’a appelée soumise, le mot ma agressée les oreilles mais, en n’y réfléchissent, cet Homme avait l’air de savoir de quoi il parle.

Nous voici dans la chambre d’hôtel, il ouvre son sac et me montre son matériel, il est constitué de cordes de différentes longueurs, de menottes avec des tailles différentes ainsi que de colliers de chien ou de chienne d’après lui et de drôle d’objets que je ne connaît pas qui, ressembles à des colliers mais, avec dans le milieux, une boule qui ressemble à une boule de billard et un autre avec un petit pénis.

Il plonge à nouveau dans son sac et en sort des gods de différentes tailles et forme, la Carole je connais (rire).

Je demande à Fred à quoi serve ces drôle de colliers, il me répond que d’une c’est Maître Fred et que de deux, ces collier s’appellent  des bâillons et que je verrai leurs utilisation dans très peux de temps.

Il me dis d’une voie ferme et sans doute possible de venir prêt de lui, il prends mes bras, les dirige dans mon dos, prends une cordes et attache mes deux poignets entre eux, prend une autre corde et commence à lier cette corde autour de mon buste, passe à de nombreuse reprise au dessus et en dessous de ma poitrine et passe la corde d’une certaine façon pour qu’elle me serre fermement aussi bien le buste que ma poitrine qui, avec ce ligotage bien réfléchis, me comprimes les seins de façon à les gonfler et de mettre ma poitrine bien en avant.

Tu n’as pas eu peur à ce moment ? Écoute Carole, je suis la pour prendre mon pied et donc il faut savoir faire le donc de soit pour avoir des orgasmes, oui bon d’accord, j’ai un peux paniquée intérieurement mais, ce Fred pour ne pas dire Maître Fred avait une bonne tête.

Une fois bien prisonnière de ces cordes, il commence par passer sa main dans le décoté de ma robe et, caresse mes seins, mes tétons, je t’avoue Carole qu’à ce moment mes hormones son montées en ébullitions et que le simple fait de toucher mes seins ainsi attachée ma fait un effet bœuf, je salive déjà pour la suite.

Au bout d’un moment, après avoir bien pétrie mes seins, il dirige sa main vers le bas de ma robe, la retrousse et laisse apparaître ma petite culotte.

Sans aucune hésitation, il arrache celle-ci et commence par me caresser les fesses, l’entre cuisse, m’inflige de petite fessées, tout en me tenant par les cheveux.

Je t’assure Carole, le faite d’être ainsi attachée et dominée de la sorte ma donnée très chaud et, j’ai commencée à  mouillée très fortement, je me suis entendue gémir de plus en plus fort et, j’ai du reconnaître moi qui si  indépendante et forte que d’être une femme dominée par Homme expérimenté n’avais rien humiliant bien au contraire, le plaisir est très fort et les orgasmes qui on suivie ne l’étais pas moins.

Il ma prise pas les cheveux, ma poussée vers le lit, m'a obligée à me mettre à genoux contre le rebord du lit la, il a pris d’autre cordes et ma ligotée les jambes, aux niveaux des chevilles, des mollets, au dessus des genoux.

Ho Carole si tu savais l’envie que j’avais de crier de plaisir, de dire OUI PRENDS MOI, il est passé devant moi, c’est installé bien tranquille sur le lit, face à moi, à sortie son auguste sexe et ma dis : suce moi esclave.

Ce mot esclave ma pénétré le cerveau, très excité, j’ai pris sa verge dans la bouche et à commencer à le sucer.

Je n’avais jamais prise autant de plaisir à donner une fellation à un Homme et à le voir, il appréciait aussi.

Au moment d’éjaculer, il c’est retiré de ma bouche et a rependu sa foutre sur mon visage, d’habitude, j’ai horreur de cette façon de faire mais la, j’avoue que cela ne ma pas déplu voir, excitée.

Tu sais Catherine , je ne sais pas comment tu fait pour t’offrir si facilement à des Hommes que tu ne connaît pas et en plus, la fellation, je t’avoue que cela me dégoute, je ne le fait pas à Alain alors que c’est mon mari, à son grand désespoir.

Carole, un Homme te mange la foufoune, c’est normal que tu en face autant non ?

Bref une fois sa jouissance terminé, il se lève, passe derrière moi, me laisse ainsi attachée, à genoux devant le lit.

Je le voie prendre le fameux bâillon, la je commence je t’avoue à m’inquiéter un peu, il dirige le bâillon vers ma bouche, insert fermement la boule dans celle-ci et verrouille les lanières dans mon cou.

En referment la boucle des lanières, la boule rentre plus profondément dans la bouche et viens se plaquer contre mes lèvres, ne me permettent plus de parler ni d’émettre un son claire.

Cette fois, complètement ligotée, bâillonnée, je suis à sa merci et il peut faire de moi tout ce qu’il veut, c’est, ce qu’il fait et commence par me fessé sévèrement juste avant de me prendre d’un coup sec et profond.

Il me lime l’intérieure, de plus en plus vite, de plus en plus fort en t’append bien son buste contre ma chute de reins, continue dans le même temps à me donner des fessées qui chauffe mes fesses au rouge et la, je hurle de plaisir, un orgasme des plus fort.

Au bout d’un moment, il me prend, me soulève, me jette sur le lit, prends mes chevilles attachées dans ces mains, dirige mes jambes vers le haut et me pénètre à nouveau dans cette position.

A peine remise de mon plaisir, un autre orgasme se fait entendre, étouffé par le bâillon, tout en me fouillent les entrailles, il pince mes seins, leur donne des claques.

Il se retire et éjacule sur mon ventre toute en jouissants.

Il se couche sur le coté et me laisse ainsi, exténuée, essoufflée, ruisselante et toujours attachée et bâillonnée.

Au bout d’un moment, il me détache, me caresse le visage et me demande se que je pense de cette façon d’être prise.

Je lui réponds que cela est extraordinaire et que je n’avais jamais eu d’orgasme si fort et si instance, cette réponse semble lui faire plaisir et il ajoute, toi qui croie être une femme forte et indépendante, tu conclues quoi de ton plaisir de femme soumise ?

Je suis obligée de répondre que oui, le fait d’être ainsi prise attachée et bâillonnée prouve que au fond de moi, je suis une soumise et que je refuse cette idée.

Bien me dit il, maintenant que j’ai eu de ta part ta bouche et ton sexe, tu va m’offrir le dernier cadeau qu’il te reste.

Sur le moment je n’ai pas saisie ces dires mais, à peine réfléchie, il me prend par la taille, me retourne, plie mes jambes, attaches mes bras à la tête du lit, attache mes cuisses, mollets, chevilles sur les cotés du lit, me rentre l’autre bâillon dans la bouche, celui qui est en forme de pénis, tous cela à une vitesse t’elle que je me retrouve complètement prisonnière, dans une position des plus indécente, lui offrent mes fesses.

Il se place derrière moi et me sodomise sans restriction tout en me fouettent le dos et les fesses.

Je n’ai jamais hurlée aussi fort de ma vie, j’ai crié, pleurée de plaisir à en perdre la respiration.

J’ai jouie plusieurs fois, avec des orgasmes à répétitions.

Maître Fred m’a détachée, ma couchée délicatement sur le lit pour que je me repose.

Une fois mon esprit revenu, nous avons discutés, échangés pour finir par nous séparer, chacun vers sa vie.

Et bien Catherine, je savais que tu étais une femme entre Guimet facile mais, je ne savais pas à ce poing.

Cela te choque Carole ? Je t’avoue que je l’ai revue plus tard et à de nombreuse reprise pour mon plus grand plaisir et le sein.

Je ne croie pas que ton histoire m’apporte des réponses, je ne pense pas être prête à voir quelqu'un pour qu’il m’attache et encore moins pour qu’il me prenne sexuellement, je ne veux pas être infidèle à Alain.

Qu'en penses-tu si je parle à Alain? Pour qu’il t’attache c’est sa ? Oui tout à fait.

Ton Alain est un coincé, je suis sur qu’il te prend à la papa le peux de fois ou il te fait l’amour.

Catherine  tu exagère, Alain est un Homme pieux et il me respecte, d’accord, il te respecte mais te donne t’il du plaisir, à tu des orgasmes ?

Excuse-moi Catherine, mais cela ne te regarde pas.

Tu sais, Maître Fred ma bien dis qu’il effectuait des bondages à de jeune femmes sans pour autant les prendre sexuellement, le fait de les attacher, les bâillonnée lui donnais bien du plaisir et le sexe n’est pas  une obligation avec le bondage.

Les photos qu’i m’a montrées, il y avait des femmes et des jeunes femmes entre, je dirai 20 et 50 ans, certaine habillées, d’autre en petite tenue et certaine complètements nue.

Il m’a bien précisé qu’il adaptait sa façon de faire suivant la personne, ces fantasmes, sa curiosité envers le bondage.

J’ai peur Catherine, tu à toujours les coordonnées de cette Homme ?

 Ho que oui et je ne suis pas prête de les perdre, tu croies que si je lui demande, il pourrait m’attacher moi, mais sans aucune acte sexuel ?

Oui j’en suis sur, cette personne est de confiance tu peux me croire.

Tu veux que je le contacte pour toi ? Non heu oui, je n’ose pas.

Je te propose quelque chose, je le contacte en ton Nom, lui explique la situation et on verra bien se qu’il propose.

Bon d’accord, on fait comme sa.

Catherine  se dirige vers l’ordinateur de Carole et lui montre le blog de Maître Fred la, Carole découvre les photos et vidéos qui se trouve sur le blog, lie quelque histoire en diagonal avec dans l’idée de revenir dessus quand Catherine serra partie.

Une grand émotion travers l’esprit de Carole en voyant toute ces femmes attachées, ligotées dans des tenues vestimentaires très classes, tout à fait le style de vêtements quelle porte elle-même, cela d’ailleurs la rassure sur le goût de ce fameux Maître Fred.

Voila dis d’un coup Catherine, le texto est envoyé la, Carole est toute rouge, gênée et de plus un peux inquiète de ce que Catherine  a bien pu écrire sur ce texto car, trop subjuguée par les photos qui lui fessait fixer l’écran d’une façon instance.

Catherine  lui dis qu’elle a tout simplement écrit quelle avait une très bonne amie, qui serrai très intéressée par une séance mais que cette amie étais très coincée et qu’elle n’oser franchir le cap d’un rendez-vous et qu’il étais hors de question qu’il y est d’acte sexuel car, elle était une femme mariée et qu’elle ne voulais pas tromper son mari.

Une demi-heure plus tard, j’appel Catherine  sur son mobile, lui demande si elle va bien et que, cela serais bien de se revoir pour que je la domine encore un peu avec de nouvelle pose et de façon de la ligoter.

Catherine  toute excitée dans la voie, me répond, avec plaisir mais que pour le moment, elle aimerait que je m’occupe de Carole.

Je demande à Catherine  de me décrire Carole aussi bien physiquement que moralement, de m’expliquer ces expériences et fantasme.

Catherine  qui ne se démonte jamais parle de Carole devant elle sans tabou, Carole est gênée et donne des petits coups de pied à Catherine pour lui faire comprendre qu’elle exagère.

Voila Maître, Carole à découvert le bondage sur le net et une envie féroce de tenter l’expérience la ronge, elle à déjà tentée de se ligoter elle-même à plusieurs reprise  mais, elle ne trouve pas trop de plaisir dans cela et la peur de ne pouvoir se libérer elle-même avant que ces Enfants ne rentre ou son mari la stresse de trop.

Je lui ai racontée notre rencontre en détail et le cotés sexe ne la tente pas du tout, elle veut rester fidèle à son mari, seul les jeux de cordes l’attirent.

Je lui réponds que pour moi il n’y pas de problème et que toute les femmes que j’ai attachée non pas étais tout obligatoirement mes maitresse, cela n’est pas obligatoire, j’aime tellement attacher le corps féminin que si il n’y pas d’acte sexuel, je prends déjà bien du plaisir à la dominer virtuellement.

Je ressens que ta copine est un peux peureuse et si cela vous va à toute les deux, je vous propose de se rencontrer tous les trois et d’en discuter autour d’un bon verre.

Catherine  regarde Carole pour avoir sa réponse, Carole hoche de la tête pour approuver ce rendez-vous.

Le rendez-vous est pris, pour le samedi suivant, Carole organise la garde de ces Enfants avec sa belle mère pour, parait il, allait voir un film avec Catherine.

Le jour du rendez-vous est arrivé, Catherine  se présente à moi dans un superbe tailleur avec au pied de superbes escarpins à très haut talons, je voie un peu cachée derrière, notre fameuse Carole, une très belle jeune femme elle aussi dans un tailleur de très belle facture qui lui donne une silhouette de rêve.

Catherine  me fait la bise et Carole emboite le mouvement pour je pense, ne pas paraitre trop coincée, j’invite ces dames à notre table, passons notre commande, une fois servie, commençons à échanger.

Catherine  parle au Nom de Carole, j’avoue un peu agacer, je demande à Carole de me dire elle-même c’est envies et comment elle voie notre séance.

Carole m’explique quelle a déjà essayée de s’attacher elle-même mais que, se n’ai pas très pratique, la peur d’être surprise ou dans l’impossibilité de se détacher la stresse et donc lui gâche le plaisir qu’elle pense avoir en pratiquant le bondage.

Je lui réponds que bien souvent, les femmes et jeunes femmes que j’ai attachées, son passées par cette phase et dessus par cette séance, ou recherche un Maître pour effectuer le bondage ou laisse tomber, par manque de courage de ce donner virtuellement à ce Maître.

Carole me répond qu’elle comprend cette réaction car, sa pensé est identique, jusqu’a ce que Catherine la décide en lui racontent votre rencontre.

Je demande à Carole ce qu’elle pense de l’histoire de notre séance, Carole me répond qu’elle avait bien salivée, fantasmée devant les dires de Catherine mais, le coté sexe l’avait fait reculée.

Je lui explique qu’avec Catherine, vu le personnage, libérée sexuellement et toujours prêt à prendre du plaisir, cela c’est passé ainsi mais, d’une femme à l’autre, les séances son complètements différentes du fait justement, que j’adapte ma façon de faire suivant l’expérience, le caractère et le but que la personne veux t atteindre.

Mes parole rassure Carole, son visage est détendu et serein.

Bien Carole, a tu d’autre question ?

Carole me répond que oui, une dernière, ou se passe les séances en général ?

Je lui réponds que cela dépend de la situation, du moment, avec Catherine, cela c’est passé si vite que l’hôtel du coin de la rue étais parfait, pour d’autre leur propre maison ou appartement, certaine l’habitat d’une amie, c’est très diversifié.

Carole me répond qu’elle ne veux pas par respect envers son mari que cela se passe dans sa maison, qu’elle ne veux pas aller à l’hôtel car, si une personne qu’elle connait la voie entrer avec un autre Home que Alain, cela peux très rapidement prendre des proportions catastrophique.

Je réponds ou alors ? Catherine nous propose de nous prêter son appartement, Carole et moi somme d’accord par contre, Carole me dis qu’elle ne me connait pas encore suffisamment pour allez seul avec moi dans l’appartement de Catherine pour être ligotée, bâillonnée et peut être plus sans mon accord.

Je lui répond un peux déçu, qu’elle peux t’avoir confiance en moi et que Catherine peut en témoigner la, Catherine propose à Carole, écoute Carole, je te propose une chose, par ce que je t’aime bien et je veux que tu connaisse enfin ce plaisir, je te propose de venir avec vous deux, de rester dans la cuisine tout le temps de la séance pour, si tu le veux, intervenir pour te sauver (ton de la voie moqueur) des griffes de Maître Fred et de son sexe.

Carole excité, réfléchie, je peux prendre bien du plaisir dans cette séance et l’exprimer vocalement, Catherine va l’entendre et cela me gène un peu, par contre, en ca ou, c’est bien de savoir qu’elle est dans la pièce d’à coté !

Carole se lance et accepte l’invitation.

Nous voila partie tous le trois vers le parking pour prendre un seul véhicule, une fois devant la voiture,  Catherine montent derrière, me lance un regard coquin et dirige celui-ci sur les superbes jambes de Carole au moment ou elle monte dans la vouture.

Pendant que je conduis, je regard régulièrement les jambes de Carole, longues et galbées, les chevilles fines et pense devant ce beau spectacle à mes cordes qui vont habiller et mettre en valeurs ces jambes magnifiques.

Nous arrivons devant l’immeuble de Catherine, mes femmes descendent, je ferme la voiture et nous voila tous les trois dans l’ascenseur.

Catherine ouvre la porte de son appartement et nous invitent à entrer, nous propose un verre pour détendre l’atmosphère.

Carole remercie Catherine mais, d’un ton ferme et décidé, demande pour commencer la séance, je suis prêt dit elle, alors dépêchons-nous avant que la raison me fasse changer d’avis.

Catherine nous fait visiter les diverses pièces, montre à Carole ou se trouve la cuisine par rapport aux autres pièces et ajoute, bien ma fille, je te laisse avec ton Maître, prend beaucoup de plaisir, profite s’en et referme la porte pour nous laisser seul Carole et moi.

J’invite Carole à s'assoir sur le canapé du salon, prend mon sac à malice et commence à en sortir les diverses accessoires.

Carole observe avec grand itérais et une certaine émotion les cordes, baillons, menottes et bien d’autre chose qui emplissent mon sac.

Je lui propose si elle veut avant de commencer, de toucher ces objets.

Carole me répond que non et préfère avoir la sensation une fois en place.

Je demande à Carole si elle est prête ? Elle me répond oui avec quand même une timidité dans la voie.

Carole n’a jamais été attachée par une autre personne et donc, j’opte pour un bondage classique, le bondage sur une chaise.

Je prends la main de Carole, la dirige vers cette chaise, elle s'assoie.

Je prends une longueur de corde et commence à ligoter Carole, au niveau des bras et du buste, de la poitrine, fait bien le tour lentement de ces seins, entre ceux-ci.

Une fois terminé, j’observe l’expression de visage de Carole et, cela a l’air d’aller.

Je prends d’autres cordes et commence, ce pourquoi j’aime à la folie le bondage, lui ligoter les chevilles, les mollet et les cuisses.

Je suis vraiment accros de cette partie du bondage, ces comme une drogue et de plus, met en lumière la beauté des jambes féminine, quand c’celle-ci son habillées de bas.

  Bien après ce passage sur mes goûts, revenons à nos moutons.

Je prends une longueur de corde et commence à ligoter les cuisses de Carole, ma main frôle son intimité, le haut de ces cuisses et je perçois des sur seaux, des tremblements et la peau de Carole est parsemée de frémissements apparaissent par ce que l’on appel communément, la chaire de poule.

Je prends une autre longueur et lui lie les dessous des genoux, les mollets et laisse un temps à Carole pour sentir petit à petit mon emprise sur son corps mais, aussi sur son esprit.

Je ne peux m’empêcher de caresser ces chevilles avant de les relier l’une à l’autre par une corde, je n’ai jamais compris ce coté fétichiste des chevilles féminine chez moi, je pense que la finesse de celle-ci, le galbe qu’elle prenne quand les pieds se trouve dans des escarpins à talon hauts les met en valeurs bref, l’aime, je trouve cela superbe, sculpturale.

Voila, Carole est pieds et poings liée, prisonnière, à ma merci.

Je la regarde, l’observe pour ressentir, deviner son ressentie et pour contenter ma joie de voir un si beau spectacle, une superbe jeune femme, habillée avec goût et classe, mise valeur par mes cordes,  attachée comme un bien précieux.

Je demande à Carole ce qu’elle ressent, si elle se plait ainsi ligotée, attachée, prisonnière des ces cordes et de son Maître ?

Carole me répond qu’elle aime beaucoup, que la sensation qu’elle ressent est très forte même si cela serre beaucoups mais, c’est le but de cette séance et qu’elle est prête à continuer.

Je prends de quoi lui bander les yeux, me dirige vers elle et effectue la pose du bandeau.

Je viens à coté d’elle, m’assoie, pose ma main entre les deux cordes qui lies ces cuisses et ces genoux la, Carole se redresse, un peu étonnée par cette main qu’elle n’a pas vu venir, je me rapproche d’elle tout en laissent ma main sur ces jambes et lui glisse à l’oreille que je vais lui mettre le bâillon.

Je prends un bâillon boule, le dirige vers elle, lui place la boule dans la bouche, me glisse derrière elle, verrouille les lanières dans son jolie cou.

Je recule et lui demande si sa va ? Carole hoche la tête pour me signaler que oui.

Je prends mon appareil photo, prend toute une série de photos de ma madone attachée, en beauté, pour elle comme pour moi.

Malheureusement, je connais déjà sa réponse quand à la fin de la séance je lui demanderai si elle accepte que je publie ces photos sur mon blog ? Le NON éternelle qui me prive de montrer au monde mes créations d’Art japonisante.

Après avoir pris une grand quantité de photos sur toute les vues, tous les angles, je me dirige vers ma soumise et lui glisse à l’oreille que je vais rejoindre Catherine dans la cuisine pour boire un verre, j’ajoute, je te laisse ainsi le temps qu’il me plaira.

Je prends bien soin de marcher avec le pas lourd pour que ma soumise me suive d’une oreille attentive, claque la porte pour que son subconscient prenne en conte qu’elle est seule, prisonnière de ces cordes et de son bâillon, contrainte à attente mon bon plaisir à la libérer.

Avant de partir, j’ai placé un caméscope face à elle pour la filmer dans ces fantasmes et pour l’admirer dans sa soumission, pour elle comme pour moi.

Dans la cuisine avec Catherine, je prends un verre, discute avec elle et d’un coup, une idée me viens.

Je retourne le plus discrètement possible dans le salon, prends mon sac, retour en cuisine et ferme la porte.

J’attrape Catherine, lui passe avec une grand rapidité des menottes aux poignets, dans le dos, lui en passe une autre paire au chevilles, soulève sa jupe et commence à lui offrir une bonne fessée.

La retourne brusquement, elle la prend fermement et avec domination pour la faire crier de plaisir et que Carole ligotée et bâillonnée dans la pièce à coté entende que sa mayeur copine est en train de ce faire soumettre sexuellement.

Catherine crie, gémies ainsi le buste posé sur la table de la cuisine, les bras prisonniers des menottes dans le dos et les jambes légèrement écartées retenues par les menottes de chevilles.

Catherine ne tarda pas à avoir un orgasme puissant et sonore, traversent j’en suis sur la cloison.

Une fois jouis moi-même, me retire, prend Catherine par les cheveux et l’oblige à se mettre à genoux pour m’offrir un nettoyage de ma verge après utilisation.

Catherine prend en bouche et commence à me suce0.

Après cet interlude, je me rhabille et va voir ma soumise prisonnière de ces cordes.

Je lui retire son bâillon, son bandeau et lui demande comment elle va.

Carole me regarde avec un visage contenté et sourient et m’avoues que d’être ainsi attachée, les yeux bandée et bâillonnée, la fait fantasmer au plus haut poing et même plus me dit elle avec l’espoir que je comprenne son intimité mouillée.

Elle ajoute qu’elle nous a entendu faire l’amour et que cette partie lui a permise d’aller jusqu’au bout et d’avoir un orgasme, persuadée que c’étais elle qui étais prise par un autre Homme que son mari et de plus attachée comme en ce moment.

Je détache Carole, lui frotte ces jambes (avec grand plaisir) pour faire circuler le sang, Carole un peu gênée que je touche ces jambes ainsi.

J’ai continué à attacher Carole une bonne partie de la journée, debout pendue par les bras, allongée sur le ventre, les jambes repliées sur ces fesses, en croix sur la table, en chien de fusils sur le lit etc.……

Carole à pris beaucoup de plaisir à être attachée toute au long de la journée et pour ma part, toujours un plaisir immense à ligoter, bâillonner une jolie femme.

Carole avant de partir, me demande conseil pour faire comprendre à son mari qu’elle veux, faire l’amour avec lui bien sur mais, qu’il la domine, l’attache, la ligote et la bâillonne pour le prendre, la soumette pour son plus grand plaisir et peut être pourquoi pas, pour le plus grand plaisir son mari.

Comme quoi le bondage est très excitent sans pour autant avoir de rapport sexuel avec la soumise dument prisonnière de mes liens.

Voila l’histoire de Carole et de Catherine que vous pouvez lire dans sa partie propre page :

Rencontre avec Catherine.

Un commentaire, merci d’avance.

Bien cordialement

Maître Fred.

Mer 31 mar 2010 1 commentaire
bonjour.vos recits sont tres excitants,je me suis mis a la place de vos femelles car j'adore ces situations.merci
lulu83 - le 04/04/2010 à 09h18

Bonjour lulu83,

Merci pour votre commentaire, je le laisse pour mes visiteurs et surtout visiteuses.

Avez-vous lu mes autres rencontres et récit de rencontres ?

Dit m’en plus sur vous, votre sexe, vos expériences etc.…

Cordialement

Maître Fred.

Maître Fred