Le blog de tu.te.soumettra.erog.fr.erog.fr
Bonjour,
Voici l’histoire de Catherine.
Catherine est une jeune femme de 32 ans, grande brune ténébreuse et sur d’elle, surtout avec les Hommes, les cheveux longs et ondulés, les yeux marrons, des jambes fines et interminables, bref, une proie pour moi.
A cette époque, je n’avais pas trop de candidate sur mon blog, les mails étés rares alors, je m’étais mise en chasse dans les boites de nuits et autre endroits diverses pour trouver une nouvelle soumise, sexuelle ou non, que du bondage, tous du moment que je trouve une femme, une jeune femme pour mes jeux érotique et attachants.
Je voie au loin, une silhouette des plus intéressantes, un peu cachée par des machines à fumées.
Je m’approche, la frôle avec insistance, cela lui plait, pensent avoir ferré un Mâle, je la regarde droit dans les yeux, la déshabille du regard et créer une petite ambiance ferme et dominante.
Son regard porte sur moi une fermeté, une légère domination qui en dis long sur le comportement de cette jeune femme et son habitude je suppose de savoir se faire désirer, que pour l’avoir il ne faut pas être plus forte qu’elle.
Je me porte à sa hauteur, la saisie par la taille sans lui dire quoi que se soit et danse avec elle, sans lui laisser le choix, après tout, je ne risque qu’une claque.
Ce jeux l’amuse mais, mon regard ferme sur elle au bout d’un moment lui fait stopper la danse et d’un regard noir me dis :
D’habitude, les Hommes sont comme qui d’irais à mes pieds et que la, tu es plutôt en pays conquit.
Sur le coup, elle me rejette en me fessant comprendre qu’elle n’était pas la pour pleurer vers un Homme qui veulent bien d’elle.
Je ne me dégonfle pas et reviens à la charge pour lui expliquer qu’elle n’avait pas comprise ma façon d’être et que d’habitude, j’avais affaire à des soumises.
La, la curiosité aident, elle se rapproche de moi et me demande plus de détail sur ces fameuses soumises.
Je commence à lui expliquer que je suis adepte du Bondage, de la soumission et que j’aime contraindre les femmes et les jeunes femmes à ces jeux sensuels.
Elle est toute excitée par mes dires et me demande encore plus de détails.
Je lui explique que j’ai un site internet, ou je rencontre et raconte mes expériences avec des femmes de tout âge, de dix huit à cinquante ans pour, les dominer et pratiquer ma passion pour le Shibari.
Elle s’étonne de mes révélations et m’avoue ne pas connaître la signification du mot Shibari.
Je lui explique que le terme Shibari et d’origine Japonaise et que souvent, le mot utilisé en Europe est le bondage.
Je lui montre des photos que j’ai sur son téléphone mobile, elle regarde ces photos avec envie, je lui dis que les femmes aiment être prise par un Homme virile et qu’elle soit à leurs merci au plus profond elle-même mais, la plus part ne veulent l’accepter ou le reconnaitre.
Je voie son regard et en profite pour mettre ma main sur sa cuisses et lui glisse à l’oreille, je me nôme Maître Fred, veux tu tenter l’expérience ?
A voir son expression, Je les prise de court et elle me répondue oui un peu rapidement.
Je pars donc avec elle dans un hôtel non loin de la, je lui annonce que l’on doit faire un petit détour par le parking ou se trouve ma voiture pour prendre sac à malice.
Nous voici dans la chambre d’hôtel, j’ouvre mon sac et lui montre le matériel, il est constitué de cordes de différentes longueurs, de menottes avec des tailles différentes ainsi que des colliers, des bâillons boules et pénis qui, à regarder le visage de Catherine, n’en connaît pas l’existence et encore moins l’utilisation.
Je plonge à nouveau dans mon sac et en sort des gods de différentes tailles et forme.
Elle me demande à quoi serve ces drôle de colliers, je lui réponds que c’est collier s’appellent des bâillons et que je verrai leurs utilisation dans très peux de temps.
Je luis dis d’une voie ferme et sans doute possible de venir prêt de moi, lui prends ces bras, les dirigent dans son dos, prends une cordes et attache ces deux poignets entre eux, prend une autre corde et commence à lier cette corde autour de son buste, passe à de nombreuse reprise au dessus et en dessous de ca poitrine et passe la corde d’une certaine façon pour qu’elle lui serre fermement aussi bien le buste que sa poitrine qui, avec ce ligotage bien réfléchis, lui comprimes les seins de façon à les gonfler et de mettre bien en avant.
Tu n’as pas peur à ce moment ? Écoute me répond t’elle, je suis la pour prendre mon pied et donc il faut savoir faire le donc de soit pour avoir du plaisir et des orgasmes, oui bon d’accord, j’ai un peux paniquée intérieurement quand tu m’as attachée mais, tu n’a pas l’air méchant, une bonne tête, un amoureux des femmes et de leurs corps alors, continuons.
Une fois bien prisonnière de mes cordes, je commence par passer ma main dans le décoté de sa robe et, caresse ces seins, ces tétons, elle m’avoue qu’à ce moment la, ces hormones son montées en ébullitions et que le simple fait de toucher ces seins ainsi attachée lui avait fait un effet bœuf.
Au bout d’un moment, après avoir bien pétrie ces seins, je dirige ma main vers le bas de sa robe, la retrousse et laisse apparaître sa petite culotte.
Sans aucune hésitation, j’arrache celle-ci et commence par lui caresser les fesses, l’entre cuisse, lui inflige de petite fessées, tout en la tenant par les cheveux.
Ma soumise m’avoue, qu’attachée et dominée de la sorte lui donne très chaud et, qu’elle commence à mouillée très fortement, elle gémie de plus en plus fort, reconnaît que magret son indépendance et sa force de caractère, d’être une femme dominée par Homme expérimenté n’avais rien humiliant bien au contraire, le plaisir est très fort pour des préliminaires.
Je la prends pas les cheveux, la pousse vers le lit, l’obligée à se mettre à genoux contre le rebord du lit la, je prends d’autre cordes et lui ligote les jambes, aux niveaux des chevilles, des mollets, au dessus des genoux.
Ho me dit elle, si tu savais l’envie que j’ai de crier de plaisir, de dire OUI PRENDS MOI, jet passe devant elle, m’installé bien tranquille sur le lit, face à elle, sort mon sexe et lui ordonne : suce moi esclave.
Ce mot esclave, lui pénétré le cerveau, très excité, elle prend sa verge dans la bouche et commencer à le sucer.
Elle m’avoua après n’avais jamais prise autant de plaisir à donner une fellation à un Homme.
Au moment d’éjaculer, je me retiré de sa bouche et repend ma semence sur son visage, d’habitude, les femmes os horreur de cette façon de faire mais la, ma soumise a l’air d’apprécier voir, l’exciter.
Une fois ma jouissance terminé, je me lève, passe derrière elle, je la laisse ainsi attachée, à genoux devant le lit.
Je prend le fameux bâillon, je dirige le bâillon vers sa bouche, insert fermement la boule dans celle-ci et verrouille les lanières dans son cou.
En referment la boucle des lanières, la boule rentre plus profondément dans sa bouche et viens se plaquer contre ces lèvres, ne lui permettent plus de parler ni d’émettre un son claire.
Cette fois, complètement ligotée, bâillonnée, elle est à sa merci, je peux faire d’elle tout ce que je veux, et commence par la fesser sévèrement juste avant de la prendre d’un coup sec et profond.
Je la lime l’intérieure, de plus en plus vite, de plus en plus fort en t’append bien son buste contre sa chute de reins, continue dans le même temps à lui donner des fessées qui chauffe ces fesses au rouge et la, elle hurle de plaisir, un orgasme des plus fort.
Au bout d’un moment, je la prends, la soulève, la jette sur le lit, prends ces chevilles attachées dans mes mains, dirige ces jambes vers le haut et la pénètre à nouveau dans cette position.
A peine remise de son plaisir, un autre orgasme se fait entendre, étouffé par le bâillon, tout en me fouillent ces entrailles, je pince ces seins, leur donne des claques.
Je me retire et éjacule sur son ventre toute en jouissants.
Je me couche sur le coté, la laisse ainsi, exténuée, essoufflée, ruisselante et toujours attachée et bâillonnée.
Au bout d’un moment, je la détache, lui caresse le visage et lui demande se qu’elle pense de cette façon d’être prise.
Elle me répond que cela est extraordinaire et qu’elle je n’avais jamais eu d’orgasme si fort et si instance, cette réponse me fait plaisir et j’ajoute, toi qui croie être une femme forte et indépendante, tu conclues quoi de ton plaisir de femme soumise ?
Elle est obligée de répondre que oui, le fait d’être ainsi prise attachée et bâillonnée prouve que au fond de moi, je suis une soumise et que je refuse cette idée.
Très bien, maintenant que j’ai eu de ta part ta bouche et ton sexe, tu va m’offrir le dernier cadeau qu’il te reste.
Sur le moment elle n’a pas saisie mes dires mais, à peine réfléchie, je la prends par la taille, la retourne, plie ces jambes, attaches ces bras à la tête du lit, attache ces cuisses, mollets, chevilles sur les cotés du lit, lui rentre l’autre bâillon dans la bouche, celui qui est en forme de pénis, tous cela à une vitesse t’elle qu’elle ce retrouve complètement prisonnière, dans une position des plus indécente, m’offrent ces fesses.
Je me place derrière elle et la sodomise sans restriction tout en lui fouettent le dos et les fesses.
Elle hurle aussi fort qu’elle le peut, crie, pleure de plaisir à en perdre la respiration.
Une cascade d’orgasme se fait entendre ce qui, me plait énormément.
Je la détache, la couche délicatement sur le lit pour qu’elle se repose.
Une fois son esprit revenu, nous avons discutés, échangés pour finir par nous séparer, chacun vers sa vie.
Voila l’histoire de ma rencontre avec Catherine.
Un commentaire ?
Bien cordialement
Maître Fred.