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Bonjour à tous,

Voici une histoire vécue que j’ai lu avec plaisir sur Internet, j’ai pensé que cela pouvez vous intéresser. J’aime cette histoire et vous ?

Cordialement

Maître Fred

 

   Traduit de l’anglais

L'infirmière en bondage

 

 

Ludo commença à exercer ici il y a à peu près un mois. C'est un docteur, âgé de 29 ans, d'une taille d'un mètre quatre-vingt, avec une chevelure sombre, et très belle. Il est tout ce qu'une fille pourrait vouloir, vif, drôle, et un beau morceau.

 

N'importe comment, nous travaillons tous les deux de soirées, de treize heures à vingt deux heures. Quand la clinique ferme, il se passe des fois des choses intéressantes, mais c'est assez rare. Passé neuf heure, l'endroit est habituellement très calme. Si les patients ont le nez chargé, ou mal au ventre, ils attendent jusqu'au petit matin. De toute façon, il n'y a pas beaucoup de gens qui travaillent après huit heures.

 

Il y a une semaine, nous étions seuls à passer le temps. L'autre docteur était parti tôt, et l'infirmière en chef me demandait si je pouvais aider Ludo à l'étage. Bien sûr, j'acceptais. Qui ne voudrait pas être pas seul avec un beau docteur !

 

Bien sur, après avoir verrouiller les portes et fermer l'accès en bas, Ludo commençait à faire des passes et flirtait. Je répondais avec enthousiasme. Il enlaçait ses bras autour de moi et m'embrassait si passionnément que mes jambes se dérobaient sous mon corps.

 

J'étais toute excitée. En dix minutes, nous étions nus sur une table d'examen faisant un 69, avec moi au-dessus. Son pénis était comme le reste de sa personne, grand, fort et beau. Je le suçais aussi goulûment que lui léchait mon clitoris. En à peine cinq minutes, je me sentis près de jouir et je commençais à gémir et tortiller mon petit cul. Il le savait bien et continuait réellement son travail sur moi. Je devenais de plus en plus contractées, criant presque tandis que je pompais encore son bel outil.

 

Après avoir eu un orgasme, je me déplaçais à coter de lui et continuais mon travail sur son pénis. Il reposait sur le dos et gémissait alors que mes lèvres se déplaçait de haut en bas son penis dur. Cela pris seulement deux petites minutes de plus avant de me dire qu'il était près d'éjaculer, et ceci se fit juste après. Il me dit que le nectar arrivait et que je devais en avaler chaque goutte. Il en vint tellement que je ne pensais pas pouvoir le récupérer, mais ce fut fais et royalement.

 

Après avoir arrêté, il me tira jusqu'à lui et me roula sur le dos. Il commençait alors m'embrasser partout, avec une attention supplémentaire et payante à mes mamelons. En moins de quelques minutes, j'étais de nouveau excitée et il était dur. Il glissa sa queue dans mon entrejambe mouillé et commençait à me pénétrer lentement.

 

Son mouvement était lent et lisse. Je flottais sur un nuage. A chaque mouvement ma tête me tournait. Avec des moments éphémères, il se déplaçait toujours plus vite et plus profond jusqu'à ce qu'il me pompe comme un animal sauvage. J'enroulais mes jambes autour de sa taille, et sa virilité me pénétrait toujours plus profonde.

 

J'étais encore prête à venir. Je me débattais sous lui, gémissant comme un bébé. Lui aussi, était prêt. Nos gémissements se mélangeaient ensemble, résonnant dans la clinique, alors je sentis son sperme chaud se répandre en moi en même temps que je libérais mon propre orgasme. C'était merveilleux de jouir ensemble de cette puissance.

 

Il reposait au-dessus de moi pendant quelques minutes, m'embrassant passionnément. Nous décidions alors de remettre nos vêtements. Nous ne désirions pas voir quelqu'un surgir. Nous éteignîmes les lumières et sommes rentrés dans nos logements respectifs. Cette nuit la, je fis des rêves très excitant avec Ludo. Je m'endormis très tard.

 

La nuit suivante, nous ne pourrions pas avoir la chance de faire de nouveau l'amour. La clinique était occupée, et l'autre docteur verrouillé en haut. Mais la nuit d'après, nous avions encore la chance, mais pendant les heures de bureau. Nous nous sommes glisser dans un bureau vide, et nous installions rapidement sur un bureau. C'était excitant, et très sournois, mais pas aussi fantastique que la première nuit.

 

Il me fallut attendre une semaine encore avant d'avoir la chance de faire ce que l'on voulait. L'autre docteur a dit à Ludo qu'il devrait verrouiller les salles du haut la nuit prochaine. Il obtenait ensuite un départ rapide de l'autre infirmière, ce qui fut facile car elle aime rentrer assez tôt chez elle. Alors nous planifions une autre rencontre la nuit prochaine, si tout allait bien.

 

Je rentrais à la maison et pensais comment je pouvais préparer quelque chose de spécial pour lui cette nuit là. Je ne devais pas penser bien longtemps. Certains dessous excitant lui feraient rappeler cette nuit. Je préparais mon équipement, et j'allais me coucher. Je voulais être bien reposée pour la longue nuit du lendemain.

 

Le jour suivant j'étais prête pour le travail et mettais ma lingerie. C'était un ensemble assorti de soutien-gorge blanc de dentelle, une petite culotte, ceinture de jarretelle et bas d'un blanc éclatant. Quand je mis sur mon uniforme, vous ne pouviez dire que rien n'était de travers, sauf si je m'asseyais ce que laissait apparaître mon tour d'ourlet en haut ma jambe.

 

Je jetais un peu de choses dans un sac à main, mettais sur mon petit chapeau d'infirmières, et allais travailler. Ludo était là, et je pouvais deviner qu'il pensait à la nuit à venir. J'étais mouillée en pensant à lui. C'était dur de travailler si près de lui et de pas sentir son touché érotique.

 

Enfin, Dix heure arrivèrent. Quand tout le monde fut parti, je me glissais dans la pièce arrière, et j'échangeais mes chaussures de travail contre des chaussures blanches avec des talons de dix centimètres. D'une manière ou d'une autre, chaussures de travail n'allaient pas avec des jarretelles. Je me regardais dans un miroir. Normalement, les infirmières marchent beaucoup trop pour porter des talons. Je me regardais comme si je devais faire un casting pour un film porno dans un hôpital très chaud. Mais je ne m'en faisais pas, j'étais toute chaude, et me sentais très sexy.

 

Alors, je retournais dans la clinique et rencontrais Ludo là. Il avait éteint la plupart des lumières, et verrouillé les portes. Nous étions complètement seuls. Quand je marchais vers lui, ses yeux semblaient vouloir sortir de sa tête. Je restais dans l'embrasure de la porte, lui offrant une pose très sexy, et je lui demandais s'il aimait ce qu'il voyait. Il me regarda de haut en bas pendant un moment, puis il me dit oui.

 

Je lui disais qui ce soir était sa nuit, et je devais faire ce qu'il voulait de moi. Que j'étais tout entière sous son contrôle. Il me regarda légèrement de travers, demandait alors si j'étais certaine que je voulais être sous son contrôle. Je disais oui. Je ne savais pas assez ce que cela signifiait à ce moment, mais je le découvrit bientôt.

 

Son attitude changea un peu, plus autoritaire. Il me dit de venir vers lui et de m'asseoir sur un banc. Nous les employons dans les salles d'examen pour que les docteurs ou les familles s'installent dessus. Je faisais ce qu'il demandait, croisant une jambe sur l'autre, montrant les sommets de mon bas dessous l'ourlet de l'uniforme.

 

Il sortit alors un sac noir de docteurs et le posa sur le lit. Il demandait si j'étais prête à être contrôlée et dominée. Je disais oui, mais je me demandais si j'avais dit la bonne réponse.

 

Il ouvra le sac, fouilla à l'intérieur, et en sortit un ballot de corde blanche. J'étais presque sous le choc quand il le sortit. Je restais assise et le regardais s'installer. Sur l'instant, je ne pouvais pas me déplacer ou penser. C'était tout ce qu'il requérait, en un éclair, mes mains étaient attachées derrière mon dos, mes chevilles étaient attachées ensemble et attachées aux pieds du banc.

 

Je revenais enfin à la réalité et disais que je ne savais pas si c'était correct.

Il me rappelait que, par mes propres mots, il était le maître, et que je devais faire tout ce qu'il disait. Il enroula une corde autour mes genoux et en attacha les bouts biens serrés. Une autre corde fut enroulée étroitement autour de ma poitrine et mes bras, les empêchant de bouger.

 

Il se dirigea vers un tiroir et en tira un bloc et un rouleau de bande chirurgicale. Je luttais dans mes cordes, essayant de me libérer. Mais il savait ce qu'il faisait, toutes les cordes étaient trop serrées. Il revenait vers moi. Je lui disais que ce n'était pas ce que j'avais dans l'esprit, et qu'il devait me libérer pour que je puisse le lui montrer. Il riait et disait que c'est ce qu'il voulait, et que bientôt j'apprendrais à l'aimer.

 

Il disait que les esclaves n'étaient pas sensés être vus, admirés et écoutés. Il poussa alors le bloc dans ma bouche. Avant que je puisse le recracher, il plaça une bande longue de la bande chirurgicale sur mes lèvres. De plus, deux autres bandes pour maintenir la première.

 

Il s'assis dans une chaise et me surveillait lutter dans mes cordes. Au départ, j'étais folle à lier. Comment osait-il m'attacher et me bâillonner, surtout depuis que je faisais tout ça pour lui. Mais comme le temps passait, je remarquais l'énorme déformation dans son pantalon, et comment je l'allumais. Avant même de le savoir, j'étais mouillée entre mes jambes, il fallait juste attendre ce qu'il allait faire ensuite.

 

Il commença alors à me parler, me disant pourquoi nous faisions cela. Il me disait que depuis des années il a une fantaisie périodique. Toujours depuis l'école de médecine, il a voulu placer une belle infirmière dans l'esclavage, et faire ce qu'il voulait à avec elle pendant des heures voire même des jours. Faire sa traversés du désert dans la passion et la luxure, lui donnant orgasme après orgasme, alors l'utiliser pour son propre plaisir. Ce soir, je l'aiderais pleinement dans cette fantaisie. Il s'assis alors en silence, me surveillant gesticuler dans mes liens. Son plan travaillait sur moi.

 

Après plusieurs de minutes, il déliait mes chevilles et mes jambes, et me conduisit sur à un lit de redressement. Il déliait la corde autour mes bras et mes mains, mais laissa mon bâillon en place. Il ouvrait alors mon uniforme, et lui permettait de le glisser en bas mon corps. Je voulais l'enlacer dans mes bras et m'offrir tout à lui sur place. Mais je restais là, faisant attention comment il marchait autour de moi regardant ma lingerie sur mon corps.

 

Il alors m'ordonna de m'agenouiller au centre du lit. Je faisais ce qu'il disait. Il tira alors mes bras à travers une barre de force. Une barre de force est un triangle de métal qui est suspendu au-dessus du lit ce qui permet aux patients de se tirer eux-mêmes jusqu'à une position assise. Avec mes bras à travers le triangle jusqu'à mes épaules, il attachait mes poignets ensembles et attachait la corde autour mes coudes, les serrant ensemble.

 

Il alors me fit écarter mes genoux à part, et croiser mes jambes aux chevilles. Il attachait mes chevilles ensemble étroitement, croisant la corde autour d'eux et mes talons. Il attachait alors mes genoux aux rails du lit pour les garder largement séparés. Je devenais ainsi très immobile, légèrement inconfortable, mais suffisamment ouverte et disponible pour me faire ce qu'il désirait.

 

Il enlevait la bande de ma bouche et tirait le bloc dehors. Avant que je ne puisse dire un mot, il me bâillonnait de nouveau en poussant un tissu noué entre mes lèvres et en l'attachant finement derrière ma tête. Je devais encore lutter dans mes cordes et en silence.

 

Je me sentais de plus en plus excitée. Je me sentais encore plus chaude et plus mouillé qu'auparavant. Il pouvait faire ce qu'il voulait, n'importe quand, et je ne pouvais rien faire pour lui. Je savais que tôt ou tard, il aurait son plaisir sur moi et me sortirait de mes liens. Le fait d'anticiper sur ce qui allait ce passer m'excitait de plus en plus. Il était juste, j'apprenais à l'apprécier. En fait, je l'aimais.

 

Pendant plusieurs minutes, il me surveillait en train de lutter encore et encore. Je ne pouvais pas beaucoup bouger, et je pouvais seulement grogner et gémir à travers mon bâillon. Il obtenait réellement ce qu'il voulait maintenant, et l'excroissance dans son pantalon augmentait de plus en plus.

 

Il vint alors à moi et caressa lentement mon corps partout. Ses mains étaient merveilleuses, envoyant des fraîcheurs à travers mon corps. Alors, avec une chiquenaude de ses doigts, il décrochait le crochet sur le devant de mon soutien-gorge et lentement le tirait derrière moi. Mes mamelons étaient en alerte, vibrant d'excitation. Il jouait avec mes tétons pendant un certain temps, les tenant, les caressant, les pressant et les pinçant. Maintenant j'étais réellement allumée, et prête a jouir à tout instant.

 

Il délia alors lentement mon corps, mais gardait encore ma bouche bâillonnée. Mes bras souffraient un peu, mais il ce n'était pas grave. Mon entrejambe était mouillé, et j'étais chaude.

 

Il me mit sur une table d'examen, et m'allongea sur le dos. La tête était légèrement relevée, et il y avait un oreiller pour ma tête.

Il boucla une longueur longue de corde sous la table, alors, avec mes mains à mes côtés, il boucla la corde autour mes poignets, emballa alors la corde sur mon corps. La corde allait autour moi et la table trois fois avant d'y être attachée. Chaque fois il faisait un tour, mes poignets étaient bouclés et noués.

 

Il remonta lentement mon corps et tira ma culotte trempée en bas de mes jambes. Il la renifla pendant une minute, et la brandi sous mon nez. Ludo tira alors les étriers de jambe de métal que nous employons pour examiner des patientes de maternité sur la table. Il plaçait mes pieds dans les étriers, mes talons par les ouvertures, et attachait mes chevilles à eux.

 

Le résultat final était que mon corps était nu sauf la ceinture de jarretelle, les bas, les talons aiguilles et mon chapeau d'infirmière. Mes poignets étaient attachés en bas et maintenus hors de tout atteinte, mon corps était resté au même niveau sur la table, mes jambes étaient en l'air et étendue à part, et mon vagin était grand ouvert. Un travail très ordonné. Je me demandais combien de temps il avait pensé à cette position.

 

Ludo tirait quelque chose dehors de son sac, il vint alors jusqu'à moi, tenant une large bretelle noire dans sa main. Il me la montra. Il y avait un bout de chair coloré sur l'un des côtés qui ressemble à un pénis d'hommes. Je n'étais pas sûr ce que c'était, mais je découvrit bientôt. Il me disait que c'était un bâillon-pénis alors qu'il tirait le bâillon de tissu de ma bouche, il poussa le pénis entre mes lèvres, et attachait la lanière derrière ma tête. Cela ressemblait vraiment à un pénis, et je commençais aussitôt à le sucer comme si c'était une bitte dure entre mes lèvres, prête à venir.

 

Ce qui me surpris alors réellement. Il alla mettre un masque et une robe chirurgicale, ainsi qu'une paire de gants caoutchouteux. Au départ, je pensais qu'il allait faire une opération sur moi ou sur autre chose. Mais alors je réalisais, que j'allais assister à l'examen le plus érotique de ma vie.

 

Il commença avec un thermomètre. Au lieu de ma bouche, il le mit dans mon chaton mouillé. Il le tenait, tandis qu'il jouait lentement avec mes poils pubiens. Il le manipulait très bien, tandis qu'il m'excitait de plus en plus. Ma petite chatte était de plus en plus chaude.

 

Après avoir pris ma température, il procéda à un examen de ma poitrine, écoutant mon cœur battre (il allait cent à l'heure), puis mon chaton, alors il me dit qu'il était soulagé.

 

Enfin il décidait de me sonder. En premier, il poussa deux doigts au fond de mon vagin, les faisant tourner et me masturbant avec eux. Je commençais à gémir comme un bébé, me tortillant autant que je pouvais. Il graissa alors un de ses doigts, et le poussa au fond de mon petit cul. Je sentis une pression importante, surtout lorsqu'il jouait alors avec mon clitoris en même temps. Je jouissais en un rien de temps, criant comme si je mourais. Mon cri m'a semblé assourdi, il déclara qu'il avait trouvé le problème.

 

Quand j'eus fini, il tira ses gants. Il soulevait alors ma tête de la table, il m'asseyait avec un angle de 45 degrés. Il joua avec mes tétons pendant une minute, m'excitant et les rendant de nouveau durs. Je continuais à sucer le penis en plastique, désirant que ce soit la queue d'Ludo entre mes lèvres.

 

De nouveau il sondait mon clit avec ses doigts, il cherchait le point sensible comme il disait. Il s'intalla alors entre mes jambes, enlevait son masque et commença à lécher mon petit chaton. Il commençait en dehors et rapidement, il me fit venir. Sa langue s'enroulait autour de mon clit et plongeait au fond de moi, en moi. Il suçait mon clit, et clapotait dans mon jus.

 

Alors, juste au moment ou j'allais jouir, il ralentit, sachant comment aller suffisamment loin pour me pousser jusqu'au moment ou je ne pourrais pas me retenir. Après une minute, il accéléra de nouveau, obtenant un niveau d'apogée et me tenant encore en haleine. Encore et encore il fit cela. Je pensais que j'allais mourir. Je gémissais et gémissais, et transpirait par tous les pores de ma peau. Mais il s'arrêtait toujours juste avant que je ne jouisse. Il savait vraiment ce qu'il faisait et j'étais piégée.

 

Enfin, il prit pitié de moi, et attaqua mon clit gonflé et me fit venir. Après avoir été privée pendant si longtemps, j'explosais dans l'orgasme le plus intense que jamais j'avais eu dans ma vie. Je jouissais et jouissais, tandis que la langue de Ludo rafraîchissait mon clit inondé.

 

Quand j'eus enfin fini, et qu'il pensait que je ne pouvais plus rien rendre, il s'arrêta et remit la tête de la table en bas, il retira alors le bâillon-penis de ma bouche. Je me reposais pendant une petite minute, respirant difficilement. Il me permettait de me reposer avant de passer à l'acte final de sa fantaisie.

 

Ludo me délia de la table et me conduisit sur le lit de redressement. La, je me posais sur mon dos alors qu'il allait continuer à travailler. Il tira les rails du lit en haut en position verrouillée. Il attacha alors mon poignet droit au rail du fond avec la corde. Mon poignet gauche était attaché sur le rail contraire. Il attachait une corde autour ma taille, les cordes étant attachées finement aux rails, afin de m'empêcher de bouger beaucoup.

 

Je pensais qu'il ferait de même avec mes jambes comme avec mes bras, mais il ajouta une torsion. Mes jambes étaient étendues et mes pieds étaient passés entre les barreaux du rail et ils étaient attachés au rail en dehors du lit. Ainsi mes jambes étaient en haut encore, mais écartées plus largement qu'elles ne l'étaient à l'intérieur du lit.

 

Ensuite le bâillon, mais avec une variante encore. Il plaça un tissu ouaté dans ma bouche. Puis, sur ma bouche, il plaçait un masque d'oxygène et une bande adhésive afin de maintenir le tout. Le réservoir avait un peu d'air, de telle sorte qu'il ouvrait la soupape du réservoir juste avec une fente, j'avais un approvisionnement frais d'air que je respirais à pleine haleine. Le tissu ouaté était le bâillon réel, le masque aidait à le tenir, et il ajoutait un regard différent.

 

Il éteint alors toutes les lumières dans le bureau. Il alluma alors la lumière d'examen qui miroitait au-dessus de moi. Il n'y avait alors plus que mon corps nu et ligoté éclairé d'un fort rayon de lumière au milieu d'une pièce sombre. Je ne pouvais rien voir en dehors de ce puits de lumière, tandis que la lumière ne quittait pas une seule partie de mon corps.

 

Je ne pouvais pas le voir, mais je savais qu'il se tenait la, me surveillant en train de me tortiller dans mes liens. Je me débattais dans ces écrous, je savais que tôt ou tard, il plongerait son penis dur dans mon vagin désirant. Je le voulais, comme je ne voulais jamais personne avant.

Mes gémissements et le tortillement de mon corps l'appelaient à venir vers moi, en moi. Mais il ne se montrait pas encore.

 

Alors que je ne tenais plus en place du tout, il paru dans la lumière, dévêtu, avec toute sa virilité devant lui. Je le regardais, il était plus grand que les autres fois, et il semblait battre avec le pouvoir.

 

Il ne dît pas un mot, mais monta sur le lit, se plaça au-dessus de moi, et pilonna en profondeur ma chatte. J'haletais alors il claquait son penis au fond de moi, je gémissais alors à chaque attaque profonde, plus vite il plongeait en moi et toujours plus profond il allait. Il travaillait comme une machine, chaque attaque était plus dure et profonde que la précédente, avec un rythme sexuel parfait.

 

Il pompait comme un fou, claquant ses hanches contre les miennes. Peu à peu je sentais monter l'orgasme, espérant qu'il exploserait en même temps. J'étais de plus en plus cambrée, gémissant bruyamment dans le masque, et mon corps entier se tendant vers le haut avec le frisson de mon orgasme. Chaque partie de moi étaient en ébullition, de mes mains à mes pieds ficelés, surtout mon clito gonflait bien. Il était même meilleur qu'avant.

 

Ludo ne manquait pas un battement tel un métronome. Il continua à me pilonner, son penis dur me remplissant à chaque attaque. Il continua encore quelques minutes avant que je sache qu'il était prêt à éclater. Il gémit doucement, ferma ses yeux, et donna une poussée finale en moi, forçant lui-même au plus profond qu'il pouvait. Son jus chaud vint d'un coup en moi, me remplissant en haut avec son sperme. Il pompait des litres, il me semblait qu'il n'en finirait plus de s'être retenu si longtemps.

 

Enfin, ses boules étaient égouttées et il glissa hors de moi. Il quitta le puits de lumière au-dessus de moi pour récupérer quelques minutes. Il revint alors et délia mon corps trempé du lit, et enleva le masque de mon visage.

 

Il me demandait si j'avais aimé sa fantaisie aussi fantasque qu'elle fût. Je lui disais que c'était fantastique. Pour lui prouver combien c'était merveilleux, je le poussais sur le lit, ouvrit son pantalon, sortit son penis, et je commençais à le sucer. Le penis bâillon m'avait fait vouloir son penis dans ma bouche toute la nuit. Il était instantanément dur, et après dix minutes, il lâchait une autre charge de sperme au fond de ma gorge.

 

J'étais autorisée à m'habiller. Nous parlions pendant quelques minutes, et je lui disais la nuit avait été plus qu'excitante. Je lui demandais où il avait eu les idées pour toutes les positions réalisées. Il sourit et sortit un magazine. Il était rempli de femmes, attachées dans diverses positions dans des scènes différentes.

 

Une photo montrait deux filles attachées en haut sur un lit d'hôpital avec des lots de corde. Une d'elles était agenouillée sur le lit avec une barre de force au-dessus des coudes, comme je l'étais. Une autre série d'images montrait une infirmière vêtue et talonnée attaché à un lit d'hôpital, avec un masque de bande. La seule différence avec moi c'est qu'elle était encore en uniforme, mais sa poitrine était découverte. Une autre scène la montrait attachée à une table d'examen, avec elle pieds dans les étriers, comme je l'étais. Ludo n'avait pas une seule photo prise lors de cette soirée de moi. J'aurais aimé voir comment j'étais.

 

Alors que je regardais le magazine, il y avait d'autres photos qui étaient toutes aussi excitantes. Une fille était attachée en croix à un lit, avec des cordes autour de sa taille, de sa poitrine et de ses jambes l'empêchant de bouger. Le sous-titre disait qu’elle ne savait pas pourquoi ils l'attachaient ainsi, mais elle était contente qu'il y ait trois hommes ici, parce qu'ils la prenaient tous les trois pour la satisfaire. Une autre série montrait deux filles attachées, une sur une roue raide, une autre en suspension par les pieds.

 

Je dois admettre, que j'imagine Ludo avoir beaucoup d'autres idées ou qu'il aimerait essayer d'autre scènes. Je voulais en découvrir plus, et essayer tout genre de choses. Mais la nuit était bien avancée, et nous pensions qu'il valait mieux prendre congé. Nous nous sommes embrassés passionnément, et il me donna une longueur de corde pour que je me rappelle cette nuit la. Je retournais chez moi exténuée, mais comme une femme satisfaite et curieuse.

 

Le jour suivant, je rencontrais Ludo avant le travail pour parler de la nuit précédente. Nous en avons parler pendant près d'une heure. Je lui disais combien j'avais aimé cette nuit là, et que j'étais curieuse et prête à explorer de plus près l'esclavage. Il me disait qu'il avait réellement adoré la nuit précédente, et voulait me montrer d'autres choses, et tester d'autres positions avec moi.

 

Il suggéra alors que nous passions le week-end ensemble chez lui. Pour toute la durée du week-end, je serais dans l'esclavage. Il pourrait faire ce qu'il voulait, là où il voulait, lorsqu'il voulait. Il me promit de ne pas me blesser, ni faire rien je ne voulais pas. J'acceptais rapidement l'offre, mais j'imposais une condition : je le ferais tant il prendra des photos de moi tandis que je serais attachée. J'étais réellement intéressé de me voir entièrement attachée et immobile. Ludo consenti, disant qu'il avait un appareil instantané et une caméra vidéo pour saisir l'action sur la bande.

 

Bien, ceci est mon histoire. Aujourd'hui c'est vendredi. J'ai un sac de voyage avec tout le nécessaire, mais en fait, il n'y a pas grand chose dedans. Seulement une brosse à dent, du maquillage, une brosse à cheveux, un lot de lingerie fine et des talons hauts. Ludo aime quand les femmes portent ce genre de choses. Bien sûr, Je serai en uniforme d'infirmière. Je vais plaire et me plier à ces désirs. Tout le week-end en tant qu'esclave, aux mains d'un maître beau. Je ne peux pas attendre. Par contre ce sera une autre histoire très intéressante.

Mar 14 déc 2010 Aucun commentaire