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Mercredi 24 mars 3 24 /03 /Mars 18:57

Bonjour,

Aujourd’hui, je vais vous raconter l’histoire de ma rencontre avec Brigitte.

Brigitte est une jeune femme de vingt huit  ans, ingénieur agronome dans l’industrie alimentaire, grande un mètre soixante douze pour soixante deux kilogrammes.

Des cheveux longs et châtain foncés, les yeux noisette.

Brigitte m’a contactée pour que l’on face connaissance par mail pour commencer et ensuite peut être, une rencontre m’avait elle écrit.

Nous avons donc échangés par mail pendant un certain temps, je vous avoue ne pas avoir pris note du début et de fin de ces  courriers.

Elle m’a fait part pour commencer de sa vie, de ces loisirs, de ces passions, sa  profession et des problèmes qui en découlent bref,-elles en quelque sorte.

Ensuite est venue le temps des échanges plus intimes, plus personnel, ces aventures sexuelles, ces déceptions, ces fantasmes seuls dans son grand lit.

Elle m’avait même fait part dans un de ces mail, d’un Homme qu’elle avait rencontrée dans une soirée la veille et qui c’était terminé rapidement puisque cet Homme, lui avait demandé, de l’attacher au lit pour venir s’empaler elle-même sur son pénis.

Son mail était claire l’or qu’elle me fit part de cette aventure, une grande déception et une envie des plus primaires de lui taper dessus en le traitent de minable, de petite bit et de lui hurler à l’oreille que c’est elle qui voulais être ligotée, bâillonnée et prise comme une esclave, un objet sexuel

Un jour, un mail de Brigitte me demandât un rendez-vous, une rencontre.

C’est avec joie que je lui ai proposé un soir d’été de venir boire un verre pour faire connaissance.

Brigitte c’est présentée à moi cette  fameuse fin de journée, dans une jolie robe d’été fluide et bien taillée, de beaux escarpins avec des talons de bonne démentions, assortie à sa robe.

J’ai invité Brigitte à ma table, elle avait un visage qui reflétai un stresse certain, j’ai appelé le serveur pour passer notre commande et une fois nos consommations servies, j’ai commençai à parler pour détendre l’atmosphère.

Brigitte à changée de visage, des trais moins inquiet et plus détendus apparaisse, elle a croisée ces jambes, laissent apparaître le galbe de celle-ci, très, fines et longues.

 

La, les questions on commencées à fuser, Brigitte allai de question en question comme une drogue, excitée avec de temps en temps, un d’arrêt pour scruter autour d’elle et vérifier que des oreilles indiscrètes c’étais glissées prêt de nous.

J’ai due au bout d’un moment mettre les haut la pour stopper Brigitte dans sa soif de question réponse et pouvoir glisser les miennes.

Un bonne échange a fini par c’établir au bout d’un moment et magret la présence des passants, Brigitte c’est laissée aller à me répondre sur des questions précise et intimes.

L'heure tourne et il est temps de se séparer la, je pose la question fatidique à Brigitte : alors veux tu tenter l’expérience avec moi et devenir la soumise d’un Maître expérimenté et exigent ?

Brigitte m’a regardée, a voulue sortir une réponse de sa bouche mais, le son n’ai pas sortie du premier coup, étouffé par l’angoisse et le stresse d’une telle réponse.

Elle avale sa salive, reprend sa respiration est m’annonce que oui, elle veut bien tester avec moi cette expérience.

Le rendez-vous est fixé pour le lendemain, un vendredi après midi dans l’appartement d’une amie de Brigitte partie en vacance.

Avant de ce quitter, je rappel à Brigitte qu’elle doit être à ce rendez-vous en tenue adéquate selon mes goûts et prêt à obéir  à mes ordres quel qu’il soit, Brigitte avec une hésitation et une grande émotion me répond d’un oui ferme en sans quiproquo.

Le vendredi après midi est la, Brigitte aussi, dans un superbe tailleur rouge/bordeaux, des escarpins pratiquement de la même couleur en nubuck, une coiffure sophistiquée et un maquillage discret mais présent.

Brigitte ouvre la porte de l’appartement de sa copine et me fait entrer.

Elle se retourne, me regarde apparemment très encenseuse, je lui dis pour la détendre, tu me fais visiter ? La un sourire et oui me répond t’elle, avec plaisir.

Je pose mon sac sur la petite table basse de l’entrée et la suit.

Les pièces défile les une après les autre pour, terminer par la chambre à couchée ou j’avoue, avoir décelé chez Brigitte une envie, un sourire en entrant dans cette pièce.

Je prends la main de Brigitte dans la mienne et lui dis,  maintenant il est temps de passer à ton initiation.

Viens avec moi dans le salon, assis toi sur le canapé, tes jambes bien l’une contre l’autre et tes bras dans le dos, les poignets l’un au dessus de l’autre.

Brigitte s’exécute avec un mélange de stresse et de joie d’avoir enfin la possibilité de tester en réelle ces fantasmes de soumissions.

Je lui annonce que je vais l’attacher au niveau du buste mais aussi des jambes, très sévèrement, très serrée pour qu’elle ait plus qu’une idée d’être ainsi possédée par son Maître à travers mes cordes.

Je commence donc par lui lier les poignets, les bras, le buste, les seins, je passe plusieurs fois, les cordes se range les une en dessous des autres forment tout l’Art du shibari original.

Une fois bien et fortement ligotée au niveau du buste, je passe aux jambes qui, je sais que je me répète pour mes fidèles lectrices et peut être lecteur ma passion, mon plaisir, surtout au niveau des chevilles que j’aime ligoter au plus haut point.

Bon bref, je prends d’autre cordes et commence à attacher les jambes de Brigitte, les chevilles, les mollets, au dessus des genoux et les cuisses, quatre liens bien serrés, plusieurs tours pour chaque liens, mettent en évidence les longues et fines jambes de Brigitte.

Ma nouvelle soumise et entièrement ligotée, de bas en haut, il ne lui manque plus que le bâillon, accessoire indispensable pour une domination de qualité.

Je prends un bâillon boule dans mon sac et le place dans la bouche de Brigitte.

Maintenant, ma soumise est toute équipée, à ma merci, je passe ma main sur la peau nue de ces jambes entre les cordes, remonte doucement vers ces cuisses la, je sens bien l’excitation, les frissons qui cours sur sa peau.

Je Prends un bandeau dans mon sac, le passe sur son visage, lui couvre les yeux avec.

Ma soumise est la, sans pouvoir dire un mot, sans pourvoir voir ce qui se passe autour d’elle et en plus, ne peux faire aucun geste.

Je décide de faire un tour en bas, prendre un peu le soleil alors, je viens vers elle, passe ma main dans son décoté, caresse ces seins et ces tétons, lui titille bien sa poitrine et quand elle commence à gémir, je lui annonce que je vais faire un tour en bas et lui demande de m’attendre sans bouger, je revient vite la, Brigitte pousse un cris qui est étouffé par le bâillon, tape des pieds sue la moquette qui atténue le bruit des talons haut sur le sol, elle proteste croyez-vous ?

J’ouvre la porte de l’appartement, referme la porte et fait croire à mon jouet vivant que je suis partie, je me dirige sans bruit vers le salon et l’observe ainsi complètement prisonnière et contrainte à attendre que je revienne.

Elle gigote, essaie de se libérer sans grande réussite et fini par abandonner, essoufflée par ces efforts inutiles.

Au bout d’un moment, je me dirige vers elle avec le plus de discrétion possible, prends ces chevilles par la corde qui les attaches et d’un  coup sec, replies c’celle-ci vers ces fesses retournent du même coup tout son corps pour qu’elle soit sur le ventre.

Cet acte très rapide et des plus fort pour ma soumise persuadée que j’étais partie lui provoque des cris et des gémissements des plus prometteurs, entre peur et excitation, entre violence et rapport intime.

Ma soumise sur le ventre, je relie ces chevilles à ces poignets par une corde, ce qui bloque complètement son corps dans une position des plus contraignante.

Je retire le bâillon boule de sa bouche, lui introduit un god pour qu’elle le suce.

J’effectue de va et viens dans sa bouche avec le god et en même temps, lui offre de jolie fessées sur ces fesses qui ne le sont pas moins.

Un mélange subtile de cris et de gémissements se fait entendre, j’arrête de la fesser et commence à la fouetter au même endroit, doucement et de plus en plus fort tout en lui fessant glisser le god dans sa bouche.

Je retire un de ces escarpins et commence à lui fouetter le talon, c’est curieux chez les soumises les sensations c’apport le fouet sur cette partie du corps ?

Je retire  le god de sa bouche, lui introduit ma verge à la place et lui ordonne cette fois d’effectuer les va et viens elle-même.

Ma soumise s’exécute et m’offre une fellation dans cette pose et soumise à mes liens, j’adore.

Elle se contorsionne comme elle peux pour me satisfaire et au bout d’un moment, je me retire et éjacule sur son visage.

Mon sperme coule sur son visage, la sensation à ce moment pour ma soumise doit être intense, prise vraiment pour un objet de plaisir et non pour une femme.

Je détache ma chose, la laisse reprendre ces esprits, attend sa réaction.

Elle me regarde, souri et me dit qu’elle n’est pas dessue, que les sensations d’être la chose, le jouet du Maître étais intense et plus forte que dans tout ces rêves et ces fantasmes.

Je lui explique que cela est une entrée en matière et que la suite risque d’être encore plus forte.

Ma soumise a l’air d’être contente et à la fois curieuse de voir la suite et surtout de ressentir la suite de la séance.

Je prends ma soumise par les cheveux, l’oblige à ce lever, déboutonne la veste de son tailleur, lui enlève pour mettre à jour cette jolie paire de seins bien gonflés par l’excitation, je fais glisser sa jupe sur ces chevilles.

Voila, ma soumise est entièrement nue, pour seul vêtement ces escarpins.

J’oblige ma chose à ce mettre à genoux devant moi, lui ordonne de déboutonner mon pantalon, de le faire glisser le long de mes jambes, de faire de même avec mon slip, de prendre en main le sexe de son Maître et lui donner du plaisir jusqu’à ce qu’il lui disse d’arrêter quelque en soit le temps et n’acceptera aucune excuse pour arrêter.

Ma soumise commence sa fellation, un peu timidement au début et plus goulument ensuite.

Pendant ce temps, je lui fouet les fesses, le dos, les cuisses avec un martinet ce qui à tendance à augmenter la sensation de domination envers ma soumise.

Je lui donne l’ordre de se diriger vers la table basse à quatre pattes, doucement que je profite bien du spectacle et pendant qu’elle si rend lui fouet les fesses  fermement, des gémissements fort présents se font entendre pendent tout le trajet.

Je lui donne l’ordre de monter sue la table basse, de pencher sa tête de façon à ce qu’elle pose sue le bois de la table, de relever les fesses et avec ces mains, d’ouvrir ces grandes lèvres pour que je la prenne dans cette position d’esclave.

Brigitte s'exécute et une fois en position d’offrande, je la pénètre violement et sans aucune délicatesse toute en lui infligent de sévère fessées.

La, ma soumise hurle sans modération, cris, pleure, gémie ce per elle-même dans ces sensations de femme et mélange ressentie de soumise entre douleur et jouissance.

Le dernier cri de plaisir ce fait  t’entendre, projettent ma soumise sur le sol, essoufflée, éreinté entre douleur et plaisir.

Je me dirige vers elle, la prend par les cheveux et lui ordonne de nettoyer ma verge avec sa bouche pour qu’elle soit propre et qu’il ne demeure aucune trace de ces entrailles.

Complètement vidée et essoufflée, ma soumise se relève et astique son Maître.

A Paine terminé, je l’entraine rapidement vers la salle à manger, la porte sur la table, l’attache fermement en croix sur cette table, la bâillonne  très serrée et la pénètre très profondément tout en lui infligent des claques sur les seins.

Je la prends ainsi un bon moment, ces orgasmes se multiplies et s’enchaines, je détache ces liens qui retienne ces jambes et ces chevilles, la retourne rapidement sur le ventre, lui insert un très gros god dans le vagin et avec ma verge la sodomise.

Ma soumise est folle, ce tortille dans tous les sens comme un robot déréglé, elle est mouillée de partout, sa transpiration ruissellent sur son corps, sa respiration est au maximum et ces battements cardiaques au plus haut.

Ma soumise explose dans un orgasme atténué par le bâillon mais d’une puissance qui fait perdre conscience à ma soumise avec un regard complètement hébété et absent.

Je détache ma soumise, la prends dans mes bras, la pose sur le lit, reste à coté d’elle pour voir si elle revient bien à elle, je le laisse reprendre souffle et vie.

Au bout d’un moment, mon esclave sexuel se relève et me regarde encore essoufflée avec une respiration forte et m’offre un sourire révélateur de plaisir et de satisfaction.

Brigitte me fait part de ces sensation, de ces ressenties et de la puissance de son plaisir et de ces orgasmes d’une force inconnue à ce jour.

Nous nous rhabillons tous les deux et il est tend de se quitter, dans l’attente d’une autre aventure.

Voila l’histoire de ma rencontre avec Brigitte.

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Bien cordialement

Maître Fred

Par Maître Fred - Publié dans : Domination SM - Communauté : coquins de dijon
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