Bonjour,
Aujourd’hui, je vais vous parler de ma rencontre avec Lydie.
Lydie est une jeune femme de 28 ans, professeur de lettre à la faculté, pas très grande, voir même petite mais, d’une beauté comment dire, d’une miniature parfaite.
Les cheveux long, blonds, les yeux verts, véritablement une beauté.
Lydie m’a envoyée plusieurs mails pour échanger ces impressions, des réflexions pertinentes sur les photos affichées sur mon blog et sur les nombreuses fautes de français.
Elle m’avoue avoir un peu bloquée sur ce dernier point, déformation professionnelle oblige mais que mes textes reflétant mes désires, envies, expériences lui avait fait oublier ce problème qui somme-tout n’a rien à voir avec le sujet qui nous intéresse.
Lydie m’a envoyée d’autre mails plus ciblés sur des questions d’ordres, comment se passe les séances, la check-list dument rempile par la soumise est elle respectée, sur certain poing di sensible ect….
Lydie à commencer à me parler de chose plus personnelle la concernant, ces relations intimes avec des hommes qui ne la satisferai pas, que parfois, elle arrivait à expliquer, à demander son désire d’être prise un peu violement, attachée, bâillonnée comme une esclave, enchainée au pied d’un Homme comme une bête de compagnie.
Elle m’a fait part de sa passion pour les vêtements en latex et les escarpins à talon aiguilles, expliquant ces ressenties l’ors quelle les portais, dans certain
mail, des photos d’elle habillée de latex, des tenues surtout en rapport avec les soubrettes, femme de chambre m’expliquant que la sensation que lui apportai ces tenues et son
imagination lui donnai bien du plaisir mais que malheureusement, aucun Homme rencontré, n’avait compris le sens de ces vêtements.
J’ai demandé à Lydie ce qu’elle attendait de ces échanges par mail avec moi.
Elle m’à répondue qu’elle avait besoin de cette échange pour me connaître et ainsi, avoir le courage de franchir la cap et de s’abandonner à moi pour enfin, connaître l’extase d’être l’esclave d’un Maître, lui appartenir pas seulement par le sexe mais aussi par l’esprit, la pensée, le subconscient.
J’ai proposé à Lydie de commencer par une semaine d’obéissance virtuelle par mail, de suivre mes ordres à la lettre sans se poser de question, elle accepta.
Premier ordre par mail pour Lydie le dimanche soir.
Tu va aller dans un sex chop et acheter deux paires de menotte, un bâillon boule en latex, je veux que tu le place dans ta bouche devant le ou la vendeuse pour bien lui faire comprendre que tu est en train d’acheter ces menottes et ce bâillon pour toi et que c’est sur ton corps qu’ils serrons posées.
Une fois cette achat effectué, tout les soirs, tu passe cette jolie tenue se soubrette en latex ainsi que tes escarpin à talon haut, que tu m’as montrée en photo par mail, tu t’allonge sur ton lit, emprisonne tes chevilles avec une des paires de menottes, mes le bâillon dans ta bouche et le verrouille serré dans ton cou, utilise l’autre paire de menotte pour tes poignets. Une fois cette tache effectuée, tu ferme les yeux, pense à moi très fort pour convaincre ton esprit que je suis présent dans la pièce avec toi et j’observe le fait que tu exécute mes ordres.
La, tu commence à te caresser, d’une main ferme, presque viril pour simuler ma propre main.
Une fois cet ordre exécutés, tu m’envoie un mail pour me faire partager tes sensations et fantasmes.
Cette semaine est passée avec mon petit mail tous les soirs, m’expliquant que les sensations ressenties avait montées en puissances au fur et à mesure que la semaine passais et qu’elle avait réussie à sentir une présence dans sa chambre, un regard dure et exigent qui la surveillai exécuter les ordres de son nouveau Maître.
Le dernier mail, elle m’avoue avoir jouie avec une grande intensité d’être ainsi dominée par un Maître enfin, même si il est virtuel pour le moment.
A la fin de la semaine, un point est fait, je propose suite à ce point de ce rencontrer autour d’un bon verre, Lydie accepte sans hésiter.
Pour montrer sa bonne volonté, j’ordonne à Lydie de venir avec une tenue vestimentaire choisie par moi.
Fétichiste des tailleurs jupe de belle facture, j’ordonne à Lydie de venir avec une ce type de vêtement, chaussée par ces escarpins à talon aiguilles, bas porte-jarretelle, sans soutien-gorge et sans petite culotte.
La un petit blanc ce fait entendre, une hésitation, je demande d’une voie ferme ce qui ne va pas et la, Lydie me réponds qu’elle n’avait jamais haussée mettre ces escarpins à l’extérieur, de ne pas avoir de sous-vêtement la gênais un peu, peur que les passants s’aperçoives qu’elle ne portait pas de sous-vêtements surtout, le regard des femmes qui remarque facilement ce genre de chose.
J’explique à Lydie que si elle veut devenir une bonne soumise, une bonne esclave au service de son Maître, elle doit d’ai a pressent s’habituer à ne plus porter ce genre d’accessoires qui dans le fond, ne serre pas à grand-chose et gêne le Maître qui veut se servir de son jouet.
Cette réponse à fait comme un électro choque à Lydie, cette phrase forte et très ciblée lui à faire comprendre que si elle décide de franchis la porte du don de soit et s’abandonner corps et âme à son Maître, elle serra effectivement devenue le jouet, la chose de son Maître disponible, comme il veut et ou il veut.
Un nouveau blanc se fait entendre et la, Lydie me dis, que sa désistions est prise et que boire un verre ne l’intéresse plus, qu’elle veut tenter l’expérience de suite, maintenant et qu’elle est prête à passer la porte de la domination.
Cette annonce change tout, je donne l’ordre à Lydie de venir ce samedi à Louhans, dans un bâtiment que je viens juste de terminer de construire et que des studios vides sont disponibles pour son initiation.
Pour m’imposer comme nouveau propriétaire de Lydie, je lui ordonne de venir non plus en tailleur et talon haut mais, en tenue de soubrette en latex avec aux pieds ces escarpins à talon aiguilles.
Spécialiste des blancs, Lydie au bout d’un silence que j’avoue justifier, me répond d’un OUI MÂITRE.
Le samedi arrive, j’attends Lydie au point de rendez-vous, sa voiture ce garde à cotée de la mienne, Lydie me regarde à travers la vitre, une expression d’inquiétude se voie sur son visage.
J’ouvre la porte de sa voiture et constate que Lydie a mis un grand manteau, très long qui couvre ces jambes et cache ce qui doit être normalement en dessous.
Elle descend, je la regarde de bas en haut et fixe un regard sévère sur ces chaussures.
Lydie croise ce regard, baisse les yeux et m’avoue qu’elle n’arriva pas à conduire avec ces escarpins à talon aiguille et c’est pour cela qu’elle a mis ces vilaines chaussures à talon presque plat mais, qu’elle avait dans un sac ces escarpins et une fois entrée, les chausserais.
Une fois entrée dans le studio, je retire le manteau de Lydie, je découvre alors la tenue de soubrette en latex.
Le noir brillant du latex amoureusement nourrie par le produit adéquate, le petit tablier blanc, les cheveux blonds de Lydie, un ensemble d’un sexy, d’un glamour impossible à vous décrire
mais, d’une sensualité qui m’excite au plus haut point.
Lydie prends son sac, en sort une enveloppe et me la tend.
D’une voie douce et soumise, m’indique que dans cette enveloppe se trouve, sa check-list dument replie ainsi que sa lettre manuscrite, indiquant sa volonté de s’abandonner à moi, corps et âme.
Je prends l’enveloppe et commence à lire les documents.
Pendant ce temps, Lydie prends à nouveau son sac, en sort ces magnifiques escarpins à talon haut, retire ces affreuses ballerines et chausse la féminité à talon aiguille.
Je la voie fouiller à nouveau dans son sac pour en sortir une coiffe qui complet à merveille sa tenue de soubrette.
Après un échange sur les réponses de Lydie par rapport à la check-list, je lui demande si elle est prête à se donner à moi d’une manière complètement différente que l’or quelle se donne à un amant.
La, un blanc, un visage pas inquiet mais, troublé.
Au bout d’un court instant, Lydie me tend ces bras, les mains jointes, m’annonce les yeux baissés, oui Maître, vous pouvez faire de moi ce que vous voulez.
J’ordonne à ma soumise de se lever et lui annonce que je vais l’inspecter pour vérifier si elle a bien obéie à mes ordres.
Elle se lever avec une petite appréhension dans le regard, le mot inspection la trouble.
En fait, cette vérification concerne ces sous-vêtements, il n’y a aucun doute sur le fait qu’elle ne porte pas de soutien gorge, le décoté de son haut en latex, fait apparaître des seins gonflés par la compression que provoque le latex sur sa poitrine.
Je prends une touffe de cheveux, forme une queue de cheval fessant office de poigner, une fois ma soumise tenue par cette poigner blonde, comme une laisse, je dirige ma main entre ces bas en latex et le retombé de son tablier qui à du mal à cacher, l’espace de peau nue qui se trouve être les deux.
Le touché de ma main sur cette peau nu et à cet endroit, provoque chez mon nouvelle esclave, un sursaut, des sensations qui ont l’air de faire effet.
Lydie avais bien respectée mes ordres et n’avais pas de petite culotte sous sa tenue en latex.
Je tire ma soumise par les cheveux et l’entraine vers le lit, la projet de façon à ce qu’elle tombe sur celui-ci.
Un peu surprise par cette petite violence, elle ce place sur le dos et attend.
Je lui dis de s’assoir sur le bord du lit, la je prends des cordes et lui attache petit à petit ces jambes des chevilles jusqu’aux cuisses.
Je prends d’autre cordes et commence à lui effectuer un bondage du torse, des bras et de la poitrine, ce qui met en valeur sa tenue en latex noir grâce aux cordes blanches, qui de plus , resserre encore plus sa poitrine, lui fessant ressortir encore plus fort ces seins.
Je prends dans mon sac, un superbe bâillon boule en latex rouge qui ce marie bien avec sa tenue.
Je place le bâillon dans sa bouche et verrouille fermement, bien serré les lanières de cuir.
Ma soumise est à ma merci, pieds et poings liés, bâillonnée complètement à ma disposition.
Je m’assoie à coté d’elle, lui passe la main sur le visage, la poitrine, les jambes de façon à ce qu’elle ressent mon emprise sur elle, ma possession.
Je me lève, prends les jambes de Lydie de façon à l’allonger sur le lit, je la retourne pour le positionner sur le ventre, prends une corde, l’attache au niveau des chevilles, tire sévèrement sur la cordes.
La corde tendue, les genoux se plies et amène les chevilles de ma soumise à la hauteur de ces fesses, le lie cette corde aux autres cordes qui lui attaches les bras
et le buste de façon à ce qu’elle soit complètement bloquée, impossible d’effectuer un seul mouvement.
Une fois cette position sévère d’accord mais, des plus excitante exécutée, je coiffe ces cheveux en arrière, sort un foulard de mon sac et lui bande les yeux avec.
En plus de cette position des plus emprisonnant au poing que vous ne pouvez imaginer, bâillonnée, les yeux bandés, ma soumise doit à ce moment ce croire dans un fantasme, son entre-jambe doit être des plus mouillée.
Je la laisse ainsi un bon moment, lui laissent savourer cette situation don elle a rêvé depuis si longtemps.
Je me dirige vers elle, retrousse légèrement sa tenue latex au niveau des fesses et commence à alterner caresses et fessées sur ces rondeurs intimes.
Des petits cris se fond entendre coupés de temps en temps par des gémissements de plus en plus rapprochés qui ressemble curieusement à des manifestations de plaisirs.
Je retire le bâillon boule et met un doigt dans sa bouche, fait de va et viens tout en lui fouettent les fesses avec un petit martinet.
J’introduis deux doigts et continue avec le martinet mais légèrement plus fort.
J’introduis ma verge dans sa bouche tout en la fouettant bien plus fort avec le martinet.
Au bout d’un moment, je déclenche une inondation dans cette petite bouche si accueillante.
Ma soumise avale ma foutre sans ce faire prier, je lui ressuie ces jolies lèvres ou il reste un peu de ce rouge à lèvres d’un rouge très glamour.
Je détache entièrement ma soumise pour la laisser souffler et, comme j’aime le faire pendant, cette courte pose, lui ordonner de ma faire part de ces ressenties, le niveau de plaisir obtenue et bien sur si l’ont continue cette séance qui je dois dire, se passe très bien.
Lydie me relate ces ressenties, son plaisir et m’avoue avoir jouie dans ces entraves, cela lui plait énormément, ces bien plus fort qu’elle ne l’espérait et que plutôt deux fois qu’une, est prête à reprendre la séance pour connaître d’autre sensation et un plaisir certain.
Je remarque un joli petit fauteuil dans ce logement témoin, cela me donne une bonne idée.
J’ordonne à ma soumise de venir se positionner à genoux devant le fauteuil, lui attache les jambes et les bras, sort une laisse de mon sac, lui passe autour du cou
le collier, met le mousqueton de la laisse sur le collier.
Je prends une brosse à cheveux, retrousse le latex pour dégager les fesses de
ma soumise, commence à lui repeindre en rouge ces jolie fesses ronde avec la brosse.
Sans bâillon, j’entends les cris, les halètements, les gémissements de ma soumise, frappée par la brosse à cheveux.
Je prends dans mon sac un beau petit sex toy anal que je dirige verts la bouche de ma soumise, lui donne l’ordre de le lubrifier avant de le ranger ou il doit être.
Ma soumise ouvre sa bouche et, j’introduis le sex toy.
J’effectue des va et viens dans sa bouche et une fois bien mouillé, je place dans les jolie petites fesses l’objet du désir.
Je sens un coup de rein, de recule de mon jouet vivant, je continue d’introduire le sex toy jusqu’à ce que l’anus l’ai toute avalé.
Des gémissements se font entendre en même temps que j’introduis le petit sexe et que je frappe sur les fesses de ma soumise.
Une fois terminé de jouet sur le coté pile de ma soumise, je retire mon pantalon, me glisse sur le fauteuil qui se trouve face à mon jouet humain et m’assoie royalement devant elles lui intiment l’ordre de me donner du plaisir avec sa bouche.
Lydie s’exécute et m’offre une fellation douce et bien faite.
Une fois ce plaisir effectué, j’introduis un jolie bâillon pénis dans la bouche de ma soumise, le verrouille fermement, lui laisse en place le sex toy anal, me place derrière elle et lui caresse les grand lèvres, le clitoris, pénètre son intimité avec mes doigts, effectue des va et viens avec ceux-ci.
Une fois ma soumise prêt à devenir ma chose, mon esclave, je penche fermement le cou de ma soumise de t’elle façon que son buste vienne se poser sur l’assise du fauteuil, prends la laisse en main et pénètre d’un coup sec ma soumise.
Pendant que je vais et je viens en elle, je tire la laisse par petit coup, pour que ma soumise attachée, ligotée, bâillonnée comprenne au plus profond elle qu’elle est à moi, son corps bien sur mais sa n’importe qu’elle amant à ce genre de possession mais en plus son âme, son subconscient m’appartiens.
Cette acte sexuel apporte à ma soumise une explosion d’orgasme que le bâillon pénis a du mal à étouffer, des cris des pleurs se mélange à la jouissance et cette situation dur un bon moment.
J’entends sa respiration s’emballée, les battements cardiaque s’affoler dans le corps de mon jouet.
Elle finit par tomber sur la moquette complètement mouillée et vidée par cette séance.
J’ai détachée ma soumise, lui enlève le sex toy et le bâillon, la prends dans mes bras et la pose délicatement sur le lit.
Je coiffe ces cheveux en arrière de façon à ce qu’il ne soit plus sur ces jolis yeux.
Lydie sort de son état semi-comateux, me regard, me sourie.
Une fois que Lydie à récupérer, je lui pose des questions sur notre séance, ce qu’elle a ressentie, si sa jouissance était plus forte ou égale à ce qu’elle avais déjà connue avec des amants au relation standard, a-t-elle réalisée ces fantasmes et était il aussi forts qu’elle l’avais rêver ?
Lydie ma répondue avec sincérité et franchise, elle n’avait jamais crue que de t’elle sensation serait apportées par la domination, le bondage et la soumission, elle en rêva bien sur mais de la à croire qu’une t’elle jouissance pouvait exister cela était pour elle de l’abstrais.
Après un bon échange, nous avons convenues d’un autre rendez-vous, Lydie à répondue d’un ho oui avec joie Maître.
Le rendez-vous est fixer pour la semaine prochaine, Lydie doit venir cette fois en tailleur jupe, avec ces escarpins à talon haut qu’elle puisse conduire ou pas, cela de me concerne pas, elle a une semaine pour entrainer, une coiffure comme indiquée par mes soins, un maquillage du même crus.
J’ai promis à Lydie une séance haute en couleur, en sensation et en pose de bondage des plus inconfortable et bien sur sa disponibilité sexuelle comme je veux et ou je veux.
Voila l’histoire de Lydie, j’ai révoqué Lydie voila quelque temps car, j’ai appris par une gaffe de sa part qu’elle voyait un Homme entre nos rencontre pour ce faire sauter comme une femme et non comme une soumise, qui de toute façon n’a pas le droit d’être utilisée par un autre Home pendant que je suis sont propriétaire.
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Bien cordialement
Maître Fred
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