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Bonjour Monsieur,

J’ai parcourue votre blog avec un grand t’intérêt, les récits de vos séances de bondage mon passionnée voir, existée et les photos plus belle les une que les autre on provoquées chez moi un sentiment de jalousie, sentiment que je n’ai pas compris sur  le moment mais, je doit accepter l’évidence, j’aimerait être à leurs place, être moi même dominée par les cordes.

Voilà quelque année, j’ai regarder un film érotique japonais que mon grand frère regardait en toute discrétion dans sa chambre, cachée derrière la porte légèrement ouverte, j’ai observée les relations intimes d’un jeune couple asiatique ou, la jeune Femme étais comme la tradition le veux vierge de toute pratique sexuel. L’Homme a caressé la jeune Femme sensuellement, pendant qu’il prenait avec l’autre main, plusieurs cordes du genre que l’on utilise pour ficeler les colis. La jeune Femme a vu ces cordes, à regardée cet Homme et lui a sourie.

A partir du moment ou le jeune Femme a sourie à l’Homme, il a pris une des corde et la utilisée pour ligoter les poignets de la jeune Femme dans le dos puis, avec la même corde, il a passé le lien de part et d’autre du buste de le jeune Femme pour finir par l’emprisonner complètement en n’omettent pas de passer la corde de façon à ligoter la poitrine de la jeune Femme et ainsi faire ressortir les seins de celle-ci. Sont buste complètement attaché, ces bras pris et prisonniers par les nombreux passage de la corde, il était impossible pour la jeune Femme de bouger tout le haut de son corps.

L’Homme une fois terminé, à embrassé la jeune Femme plus sensuellement, sa main c’est glissé sous la jupe de la jeune Femme et a remontée doucement vers l’entrejambe de celle-ci.

La jeune Femme a première vu, trouvait cela très agréable. Je me suis étonnée de cette pratique des plus bizarre, encore plus étonnée que la jeune Femme avait sans nulle doute trouvée cela très agréable. La curiosité ma poussée à rester pour voir la suite, de mes 16 ans à l’époque et encore vierge, je n’ai pas comprise le coté prince charmant de ces images.  

Le film continu et je voie l’Homme déboutonner le chemisier de la jeune femme, prendre un couteau et se sert de  celui-ci pour couper le soutien gorge en son milieux et ainsi, libérer la poitrine de la jeune Femme. De petit gémissement se sont fait entendre à ce moment et l’Homme continua en caressent les seins de la jeune Femme, les lécher avec le bout de sa langue, les sucer comme un nourrisson les tétons entre ces lèvres, cela à provoqué chez moi une humidité caractéristique entre mes jambes, je me suis surprise à diriger ma main vers cet endroit pour me caresser.

L’Homme ensuite a retrousser la jupe de la jeune Femme et doucement, à glisser sa main pour saisir la petite culotte de la jeune Femme et la faire glisser le long de ces jambes la, je me suis sentie toute chose, la chaleur et les frissons mon parcourue le corps, très agréable sensation.

A ce moment, j’ai crue que l’Homme allais prendre possession de la jeune Femme et de sa virginité et bien non, pas du tout, l’Homme pris la jeune Femme dans ces bras, la conduite vers un lit, l’ allongea dessus puis, à pris d’autre cordes et à commencé à lui lier les jambes.

Il commença par lui passer une corde au niveau des cuisses et avec celle-ci,lui a lié la totalité des jambes, sur toute la hauteur pour terminer par les chevilles.

La jeune Femme était complètement attachée de la tête aux pieds, dans l’impossibilité de bouger un membre. L’Homme repris ces caresses sur le corps de la jeune Femme qui avais de plus en plus de plaisir dans cette situation de soumission. L’Homme après avoir bien fait monter la température de sa prisonnière, pris un drôle d’objet, que je n’avais jamais vue, d’apparence cela ressemble à un collier de  chien avec deux lanières sur le coté pour refermer mais, au milieux, il y avais une boule ? je n’ai pas comprise l’utilité de cet objet alors, j’ai regarder ce que l’Homme allait en faire.

Il pris l’objet et le dirigea vers le visage de la jeune femme puis, il introduit la boule dans la bouche de celle-ci et verrouilla les lanière dans le cou. Cet objet était donc un bâillon ? quel utilité cet accessoire peut il avoir pour la suite des opération et la, j’ai compris que cela complétai à la perfection la mise en œuvre de l’Homme pour dominer la jeune Femme, la posséder, la soumettre. L’Homme repris ces préliminaires avec une grande excitation puis, releva les jambes toute ligotées par les cordes et pénétra la jeune Femme et ainsi faire d’elle une Femme. La jeune Femme poussa des cris de plaisir, sa tête allée de droite à gauche avec une frénésies toute justifiée par la situation qu’elle vivait et à un moment, la jeune Femme et l’Homme jouires tout deux par un cri puissant pour l’Homme et pour la jeune Femme les tressaillement de son corps ruissellent et les cris étouffés par le bâillon m’avait confirmée qu’elle avait eu son premier orgasme de Femme.

Ces images me parcourt l’esprit depuis deux années, mes nuits et les carrasses qu’il provoque me tienne compagnie depuis ce moment, m’offrent beaucoup de plaisir solitaire.

Je viens d’avoir dix huit ans ce moi ci et, il est grand temps pour moi de devenir Femme, mais au lieu de coucher avec le premier venu ou d’attendre comme une cruche le prince charmant, je veux être prise de la même façon que cette jeune Femme asiatique qui me tiens compagnie depuis deux ans dans mes rêves et mes fantasmes de jeune pucelle.

Après avoir lue vos nombreuse rencontres qui marque votre expérience et sans nulle doute votre passion pour le bondage, je m’adresse à vous pour réaliser mon fantasme et ainsi devenir Femme par votre seins.

J’ai un physique ni canon ni laideron, dans l’attend de votre réponse, je vous souhaite de belle rencontre.

Sophie.

Bonjour Sophie,

J’ai bien lu ton récit, cela serra un honneur pour moi de réaliser ton fantasme, je suis disponible le samedi 03 juillet dans l’après midi, si tu l’est également physiquement et moralement, pas de problème pour moi.

A la réception de ce mail, merci de me confirmer rapidement ta présence à ce rendez-vous, je te communiquerais l’adresse te ta première séance.

J’aimerai également que tu m’envoi par mail ton état d’esprit suite à l’attente de notre rendez-vous.

Cordialement

Maître Fred.

Bonjour,

Voici l’histoire de la première séance de Sophie, pucelle en relation sexuelle en en Bondage.

Comme convenue, elle c’est présentée à moi à l’heure que je lui avais fixé, dans la tenue vestimentaire que j’avais demandé, coiffée, maquillée conformément à mes ordres.  

Toute émue, elle c’est approchée de moi,  m’a embrasser et toute timide resta plantée devants moi aux ordres.

Tu es prête à m’appartenir ? Elle hocha la tête pour me répondre et me laissa lui prendre la main comme signe d’appartenance.

Nous voila parties tout deux, main dans la main, vers l’appartement réservé pour cette après midi ou, mobilier, parquet et moquette deviendrais les instruments du plaisir avec, mes accessoires que je garde toujours avec moi dans mon sac de voyage.

Une fois la porte ouverte, j’invite Sophie à entrer en lui précisent, que c’est la sa dernière chance de changer d’avis après, la porte se referme et elle est obligée d’être à moi et comme il me plaira.

Elle me répond, oui Maître je suis à vous et comme vous le voudrais, elle passe la porte, tourne sur elle-même et attend mes ordres.  

Je referme la porte, verrouille celle-ci, me dirige vers la pièce principale avec dans une main mon sac à malice et de l’autre, la main de ma soumise un peu tremblante.

Je pose mon sac sur un fauteuil, l’ouvre et montre mes outils à ma futur esclave de plaisir.

Sophie regarde les cordes de différents longueurs avec émotion, touche tremblante le bâillon boule, regarde le collier avec envie bref, elle est autant excitée par mon matériel que de savoir ce que je vais en faire sur son jolie petit corps.

Il est grand temps de passer aux choses sérieuse, je prends une longueur de corde, prends les poignets de ma soumise et les place dans son dos, je lie bien les poignets entre eux, bien serrés, continue d’attacher les bras de ma soumise tout ‘en caressent la poitrine à travers cette superbe robe bustier noir qui met en valeur sa peau. Elle se love contre moi, je continue à lui lier les bras jusqu’au épaules la, je commence à lui attacher le buste, la poitrine, passe ma corde le long de ces seins et en profite pour les caresser furtivement pour faire montrer la pression. Elle commence à avoir chaud, des petits gémissements ce font entendre, je continue mon Bondage, je passe plusieurs fois au dessus et en dessous de sa poitrine, passe derrière son cou, englobe ces épaules, repasse par le cou, descend vers  ces seins, passe la corde entre ceux-ci deux fois et remonte pour passer de chaque coté de son cou et fait un nœud sur le départ de la corde au niveau des poignets.

Mon nouveau jouet  à le buste entièrement ligoté, la corde qui passe de part et d’autre de ces seins les gonfles et sous la pression de celle-ci et les fait paraitre plus gros.

Tout en caressent les seins maintenant prisonniers  de mes cordes, mon autre main commence à caresser les cuisses de ma soumise la ou j’ai retroussé la robe noir et glamour de ma soumise, l’effet es conté est la, ma soumise se tortille dans mes bras, l’excitation est à ne pas douter présente, les gémissements son de plus en plus présent, la température monte et le désire aussi.

Je glisse le tissue de la robe pour libérer le soutien gorge et d’un geste précis, dégrafe suffisamment celui-ci pour que les seins de ma soumise trône entre mes cordes, les tétons pointes, dur et tendus par l’excitation, je les prends entre mes lèvres et les titilles avec le bout de ma langue, cette action révèle des cris de plaisirs chez mon jouet, je mordille les tétons, laiche, souffle fortement pour apporter un effet de froid sur les tétons chauffés par mes lèvres et ma langue, je sens ces jambes trembler de plaisir et son corps tout entier répond à mes préliminaires.

Je remonte encore plus haut sa robe, pour atteindre sa petite culotte caressent au passage son porte jarretelle fort joli d’ailleurs ainsi que ces superbe bas fin de couleur chaire ressortent de couleurs opposés avec la robe noir et les escarpins de même couleurs.

Je glisse ma main dans sa petite culotte et commence à caresser son intimité toute lisse comme promis, tout en continuent de titiller ces seins la, ma soumise n’en peux plus, elle cri, bouge, s’affole, a du mal à se contrôler et pourtant, cela n’ai que le début, les préliminaires.

 Ma soumise est bien chaude, je l’oblige à ce mettre à genoux, lui ligote les cheville fermement l’une contre l’autre (le pied pour moi) et lui donne l’ordre de me donner du plaisir avec sa bouche ainsi attachée, esclave prisonnière de mes cordes pour mon plaisir. Je prends ma verge et la glisse dans sa bouche, sa robe retroussée me permet de fouetter ces fesses, protégées par le tissue fin de sa petite culotte,  au fur et à mesure qu’elle effectue sa fellation. Une foie mon plaisir atteint, je bâillonne ma soumise avec le bâillon boule qu’elle avais regarder au début de la séance, impressionnée par cette objet de soumission, détache ces cheville, lui retire sa petite culotte, doucement, très doucement le long de ces jambes,  ainsi elle sent bien la dernière protection de sa virginité disparaitre au moment ou elle passe la barrière symbolique des talons égailles des escarpins. Je prends d’autre corde, attache chaque chevilles aux cuisses pour l’obliger à écarter les jambes et ainsi s’offrir à mes yeux et à mon phallus gourmand de lui fouiller les entreilles.

Elle est ainsi, couchée sur le sol parqueté, le buste entièrement ligoté, les seins et les tétons gonflés par l’excitation, la bouche bâillonnée, les jambes pliée et sévèrement attachées les obligeants à s’ouvrir et dans l’impossibilité de les serrer pour m’interdire le passage.

Je m’avance vers elle et l’embroche virilement provoquant chez elle un cris mélangent plaisir et douleur du dépucelage, je va et viens en elle et ces cris se font de plus en plus fort, étouffés par le bâillon mais, très présent quand même , cris de plaisir cet fois et les tressaillements de son corps, les mouvement de droite à gauche de son tête  son très beau à voir, très existent pour un Homme qui prend une femme et le premier orgasme de cette nouvelle femme arrive, se répète à plusieurs reprise, plus fort, plus femme, plus profond, c’est un plaisir à entendre.

Après bien des plaisirs de part et d’autre, je détache cette jeune femme au niveau des jambes car, cette position est très inconfortable au bout d’un moment mais, très existante.

Je lui enlève le bâillon pour lui permettre de reprendre son souffle et de façon, à se qu’elle s’exprime.

Elle est la, à même le sol, toute essoufflée, rouisse lente de plaisir mais, toujours prisonnière de mes cordes au niveau du buste, elle est magnifique ainsi soumise, gémissent encore, sa poitrine gonflée par sa respiration haletante de plaisir et le désir.

Une fois son souffle repris, elle me dit d’une voie très excitée, encore Maître, encore, je suis à vous, attachez-moi, prenez-moi, ces bon, ces très fort, vous aviez raison, mes petite expériences qui m’avais rendue folle son des cacahouètes à côté de cela, attachez-moi Maître, prenez-moi comme bon vous semble.

Devant une t’elle requête, je prends ces chevilles dans mes mains, prends une corde et lui lies celle-ci, prends une autre corde et fait de même avec ces mollets, ces genoux en dessous et au dessus de ceux ci, je finis par ces cuisses toute en fessant en sorte, de bien passer mes doigts et les cordes en contacte avec son sexe tout vibrant, ouvert par l’excitation et apparemment prêt à recevoir la visite de mon pénis.

Pendant tout ce temps, ma soumise gémis de plus en plus au fur et à mesure qu’elle est attachée de plus en plus sévèrement, il n’y a pas de doute, elle aime être ligotée, le Bondage n’est pas seulement un fantasme pour elle mais, un état d’esprit, une jouissance.

Ma soumise est complètement ligotée des épaules aux chevilles, elle est magnifique ainsi attachée, ces jambes son mises en valeurs, la sensualité est la, la féminité aussi, les cordes blanches sur sa robe noir, ces seins qui pointes encadrés par mes cordes, mes cordes sur ces bas, qui eux même soulignés par le porte jarretelle noir et les escarpins à talons aiguilles vernis, l’absolue féminité, tous ce qui me fait craquer.

Je saisie ces chevilles, les posent sur mon épaule gauche et pénètre ma soumise avec un sexe gonflé par l’excitation. Je caresse ces seins, les pinces tout en continuent mes va et viens en elle provoquant cris, tressaillement, spasme de son corps devenue pour elle incontrôlable.

La vue de ces chevilles ligotées juste à côtes de mes joues, ces talons aiguilles qui monte et qui descendent au rythme de mes assauts, ces seins qui font de même provoque chez moi un intense plaisir, une jouissance proche de lestaze bref, le pied absolu.

Je m’arrêt, retourne mon jouet de plaisir, prends c’est cheveux comme une poigner et dans cette position agenouillée, je la prends par derrière toute en lui infligent de bonne fessées.

Tenue par les cheveux comme une pouliche, fessée et prise, ma soumise s’écroule sur le côté en un orgasme puissant qui lui arrache les cordes vocales, exténuée par le plaisir qui ne fait d’elle qu’une poupée de chiffon, dépourvue de muscle, dans l’impossibilité de contrôler son corps.

Il est temps cette fois de libérer ma soumise pour qu’elle se repose, détende ces muscle. Je la détache de bas en haut, elle s’assoie à coté de moi, pose sa main sur le mienne et me remercie de cette séance extraordinaire, miraculeuse et ajoute qu’elle est prête à remettre le couvert.

Une fois reposé tous les deux, j'ai attaché ma soumise dans de multiple position, je les prise de multiple façon et il ne me restai plus qu’à l’initier à la sodomie pour que sa découverte du sexe soit complète.

Sodomisée, ligotée dans des positions plus arde les une des autre, bâillonnée, les orgasmes se succèdent dans un concert vocal des plus agréable à entendre pour moi, son Maître.

Après un bon moment d’échange, nous nous somment séparés avec pour ma part, la promesse de m’occuper à nouveau de soumise Sophie.

PS : Je suis désolé envers mes fideles lecteurs et lectrices pour le retard de mise en ligne de cette séance, mais un déplacement professionnel ne m’à pas permis de faire plus vite.

Cordialement

Maître Fred