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Jeudi 18 mars 4 18 /03 /Mars 22:30

Bonjour,

Voici l’histoire de Karine.

Karine est une femme de quarante cinq ans, divorcée, deux grands enfants, cadre supérieure dans une industrie de pointe.

Physiquement,  une bonne taille, les cheveux courts (dommage) bruns, les yeux noisette.

Karine à quittée son mari voila sept ans, plus de vie en commun ni rien d’intime à partager de plus, son mari lui a toujours refusé ces demandes de jeux intimes pour temps demandés, réclamés à de nombreuses reprise.

Sa réponse sur la demande de Karine, si je veux une pute il y en n’a plein les trottoirs.

L’ex mari de Karine n’a rien compris le pauvre, ni le plaisir qu’il a perdu en ne soumettant pas sa femme qui le réclamai à corps et à cris et encore moins le fait de lui offrir ce beau cadeau de la garder auprès de lui bref, un idiot.

Karine est restée quelque années seule, de petite aventures intimes par ci par la, sans grand résulta.

Elle a tentée un jour les femmes dominatrices, lesbiennes qui sont souvent encore plus dure que les Maître avec leurs soumises.

La, bien mais ce que recherche Karine c’est la domination d’un Homme, d’un Maître, lui appartenir corps et âme sans droit de désistions sur elle-même.

Elle a donc surfée sur le net pour trouver l’oiseau rare, de mail en mail, d’échange avec d’autre soumises, elle à finis par tomber sur moi.

Les mails de Karine étais au début très prude, très réservés, petit à petit, Karine c’est lâchée et  c’est devenue plus libre, moins coincée avec moi.

J’ai répondu à ces questions, les mêmes en générale que les autres femmes me posent par mail.

Pourquoi j’aime dominer, attacher, ligoter les femmes, les prendre sans réservent à leurs égard, aimer les fouetter, les fesser bref, une liste longue mais qui pour moi, reflète plus un désire de ce comprendre que de comprendre l’autre.

Les échanges de mail on durés deux mois, Karine m’envoyai un mail de temps en temps, régulièrement tous le weekend, tous les deux jours et pour finir, tout les soirs.

J’ai proposé à Karine de ce rencontré en tout bien tout honneur dans une brasserie pour boire un verre.

Elle m’a répondue que le lendemain, avouent plus tard n’avoir haussée me répondre oui de suite, sans attendre comme une glace qui vous fait envie en plaine été.

Le jour du rendez-vous, Karine c’est présentée à moi dans une superbe robe de type croisée sur le buste, laissent voir juste ce qu’il faut de sa poitrine pour attirer le regard des Hommes, une jolie souplesse du tissus permet  une démarche très féminine, soulignant une silhouette aux rondeurs très attirantes.

Cette robe très glamour, très classe est rehaussée par les escarpins à talon haut à la couleur identique à la robe.

Je me suis levé pour accueillir Karine et l'invité à prendre place à la table.

Une fois assise, son regard avait bien du mal à croiser le mien, le serveur nous a apporté notre commande et à partir de cet instant, nous devions être tranquilles pour discuter.

J’ai demandé à Karine si cela avait été facile de venir, elle me répond sans hésitation que oui car toute cette période d’échange de mail lui avais permise de me connaître et de ne pas avoir peur d’une possible rencontre.

Je l’ai félicité pour sa tenue vestimentaire que j’ai trouvée de bon goût, très couture.

Cet petit compliment a hu l’air de faire grand plaisir à Karine et de surcroit, a permis de la décoincer.

La conversation est devenue plus cool, moins stressée, Karine c’est laissée aller sur des questions plus intimes sur mes expériences, mes désires, mes souhaits.

J’ai répondu à Karine, j’ai fait de même avec elle, de question en question, d’échange en échange, notre rendez-vous était très constructif.

Au bout d’une heure et demie, j’ai demandé à Karine ce qu’elle concluait de cet échange, des réponses données à ces questions, de mes interrogations à son égard.

Elle me répondit qu’elle était heureuse d’avoir enfin trouvée ce qu’elle cherchait depuis si longtemps.

Voici le moment de LA question, c’elle que redoute souvent les femmes que je rencontre, alors ai tu prête à passer la porte de mon royaume, la ou les femmes devienne mes esclaves pour leurs plus grand plaisir et le mien, endroit ou tu découvriras des sensations encore inconnues et la découverte de ton corps et subconscient.

Le grand blanc habituel c’est fait entendre au moment, ou je pose cette question.

Karine me regarde deux secondes, baisse les yeux et me dis oui, ma désistions est prise, je veux tenter l’expérience.

Je l’informe que cela ne serra pas possible ce jour, mais comme demain ont n’ai samedi, je suis disponible.

Karine me répond que cela l’arrange ce samedi car elle n’a pas les enfants, c’est le tour de son mari.

Elle me donne son adresse et je fixe une heure de rendez-vous.

J’aime je l’avoue,  quand ma nouvelle soumise que je viens juste de conquérir m’invite chez elle pour notre première séance, je suis flatté de la confiance qu’elle a en moi.

Avant de nous séparer, j’ordonne à Karine,  pour preuve de sa soumission d’aller dans les sanitaires de la brasserie, d’ôter sa petite culotte et son soutien gorge, de revenir vers moi et de me les remettre en main propre j’ajout, que je lui rendrai demain à notre rendez-vous.

Karine rougie, n’ose pas se lever, je la regarde droit dans les yeux, plisse les sourcils.

Karine comprend, se lève et se dirige verts les sanitaires.

Au moins quinze minutes se passe avant qu’elle ne revienne, elle m’avouera plus tard, qu’une fois à l’intérieure, il a fallu qu’elle se face violence pour retrousser sa robe, ôter sa petite culotte, son soutien gorge, se poser la question ou les cacher car je lui avais interdis de prendre son sac.

Une fois devant moi, sa petite culotte et son soutien gorge mis en boule dans sa main, serrés le plus possible pour que les gents autour de nous ne s’aperçoives de rien, elle me tend ces dessous.

Je les prends avec je dois dire une certaine lenteur calculé et un petit geste de la main pour que le soutien gorge soit plus visible aux yeux des passants.

Karine rougie à nouveau et cherche du regard un trou de sourie.

Elle se penche verts moi, m’embrasse sur les joues, je tourne la tâte rapidement pour que son deuxièmes baisés se retrouve sur ma bouche.

Je voie s’éloigner Karine, troublée par cette rencontre et je pense par la séance de demain.

Samedi, je sonne à sa porte, Karine m’ouvre et m’invite à entrer.

Un superbe tailleur jupe lui habille son corps de façon sublime, la veste croisée laisse apparaitre une poitrine nue sans sou vêtement, les tétons apparaisse de façon furtives.


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 La jupe droit, me permet d’admirer les superbes jambes de Karine qui de surcroit son habillée de bas noir à couture très glamour.

C’est escarpins à talon aiguilles complet l’ensemble vestimentaire.

Cotés coiffure et maquillage, rien à dire, très sophistiqués l’un comme l’autre, tout se que j’aime.

Karine une fois refermer la porte, porte son regard sur mon sac à malice, je peux percevoir un visage curieux, interrogateur.

Je regarde Karine avec un sourire et lui explique que dans le ce sac, se trouve mes accessoires de plaisir, quelle ne tardera pas à découvrir et à aimer.

J’invite Karine à s'assoir à cotés de moi sur le canapé, lui propose d’une voie tranquille de regarder et de déballer elle-même les jouets qui se trouve dans mon sac.

Karine très curieuse comme toutes les femmes ne se fait pas prier pour fouiller.

Première article de plaisir qui sort du sac, les cordes blanches, elle les regarde, les touchent, replonge la main dans le sac et la, c’est le tour du bâillon boule en latex noir.

La, Karine regarde cet objet avec un visage impressionné et curieux, je lui demande si l’expérience qu’elle avait hu avec la dominatrice qu’elle avait rencontrée, lui avais permise de voir, toucher cet article.

Karine me répond que non, en fait, elle a bien rencontrée une lesbienne dominatrice adepte du BDSM mais, au premier rendez-vous, elle a hu peur quand sa Maîtresse lui a mis les bras dans le dos pour la ligoter et que son regard est tombé sur une collection de god et de martinet sur une étagère.

Elle c’ai excusée auprès de la Maîtresse en question et a fuit.

Son regard revient sur le bâillon, le touche du bout de doigts, je lui propose de le mettre elle-même dans sa bouche sans pour autant le verrouiller.

Karine prend le bâillon, le dirige verts sa bouche, ouvre celle-ci et d’un geste ferme, redescend son bras pour poser le bâillon sur la table et m’annonce qu’elle préfère avoir la surprise et que se soit moi qui le met en place.

Elle tombe cette fois sur les outils pour lui bander les yeux la pas de réaction, il est vrais que cela n’ai pas très impressionnent.

Elle continue à vider mon sac et en sort les sex toys de différentes tailles et de destination avec ho stupeur, celui que je préfère, motorisé avec télécommande.

La sa tête change, son expression marque une curiosité autant qu’une appréhension.

Elle pose rapidement ces objets sur la table basse, je prend sa main et lui dis qu’il est grand temps de commencer la séance.

Je voie que Karine est tressée, je décide de commencer par un bondage simple mais, une bonne entrée en matière pour une débutante.

J’invite Karine à s'assoir sur une  belle chaise en chêne avec des barreaux sculptés.

Je prends ces mains, les dirige verts l’arrière de la chaise pour les attacher, Karine se laisse faire.

Une fois ces poignets attachés, je continu et ligote ces bras, prend une autre corde et commence à lui effectuer un bondage du torse et de la poitrine, je passe plusieurs fois le plus prêt possible de ces seins de façon à effleurer ces tétons qui pointe.

J’entends sa respiration s’accélérer, je prends d’autre corde, me met à genoux devant elle pour commencer à attacher ces chevilles (mon moment préférer, je suis fétichiste des chevilles de femme) j’attache ces jolies chevilles fines, ligote ces mollets et serre bien ces cuisses en passant bien lentement à chaque passage entre ces cuisses.

Karine est entièrement prisonnière de ces membres et de cette chaise, à ma complète disposition.

Je prends le bâillon boule sur la table basse, Karine regard cet objet s’approcher verts elle avec inquiétude.

Tout à l’heure elle a jouée les brave pour mettre cet article elle-même maintenant, elle n’a plus le chois et doit l’accueillir dans sa bouche.

J’introduis le bâillon dans sa boule, me dirige derrière elle et verrouille les sangles dans son cou.

Je prends un foulard et lui bande les yeux.

Voila, ma soumise est prête, à moi et je suis le seul qui peux la libérant quand bon me semble.

Je laisse ainsi ma soumise ressentir et fantasmer seul, dans ces pensées, privée de la vu et de la parole, incapable de faire un geste.

Au bout d’un moment, je dirige ma main vers ce décoté qui m’invite à visiter.

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Je glisse ma main de façon à saisir les seins et les tétons de ma soumise la, mon nouveau jouet tente une esquive mais ne peux le faire.

Je caresse ces seins et titille bien ces tétons, des gémissements se font entendre à travers le bâillon boule, ces jambes trembles.

Je déboutonne sa veste et le fait glisser de chaque cotés en servent des cordes pour empêcher le tissus de revenir à sa position initial.

Je prends un petit martinet que j’utilise régulièrement pour fouetter les seins.

Je commence doucement, des passages sur l’ensemble de la poitrine, entre les seins puis, augmente la rapidité et l’intensité régulièrement.

Des cris mélangés à des gémissements se font entendre.

Avec mes lèvres, le titille les tétons en les prenants entre celle-ci, les mouillent et aussi taud en soufflant dessus très fort, cela créer un chaud et froid qui provoque des sensations excitante chez ces dames.

Je décide de mordre légèrement et ensuite plus ferment les tétons de ma soumise, les cris sont de plus en plus fort et cela me plait.

Je détache en partie ma soumise de façon à la séparer de la chaise mais, qu’elle reste attachée et bâillonnée.

Je la lève, la retourne, la force à s’agenouiller et lui pose la tête sur l’assise de la chaise.

Ma soumise est à genoux, pied et poings liés, bâillonnée bref, à ma merci.

Je retrousse sa jupe, prends une raquette de Ping pong et commence à la fessée de façon aléatoire.

Toute en lui infligent cette fessé, je commence à lui caresser ces grande lèvres, son clitoris et à entendre, cela plait beaucoup.

Ma soumise est prêt à s’offrir à son Maître, je plaque bien son visage contre l’assise de la chaise pour lui faire ressentir ma possession et commence, à la pénétrer.

J’effectue des va et viens dans son corps, dans ces entrailles avec bien du plaisir et, à écouter les cris de plaisir qui sorte de sa bouche étouffée, cela est la même chose pour elle.

J’éjacule et jouie, donne une bonne fesses pour récompenser ma soumise, me  relève, me dirige devant elle, m’assoie sur le fauteuil, retire le bâillon de la bouche de ma soumise et dirige sa bouche sur ma verge pour quelle n’nettoyé l’outil de plaisir.

Ma soumis commence à effectuer une fellation à son Maître et lui donne le plaisir qu’elle lui doit.

Une fois mon plaisir atteint, je détache ma soumise et la laisse souffler.

Maintenant que l’esprit est de retour, je questionne ma soumise sur ces impressions.

La voila partie dans une cascade d’explication,  excitée comme une puce à me raconter ces orgasmes et jouissances.

Karine est comblée, elle ne pensait pas m’avouera t’elle avoir au tend de plaisir d’être prise ainsi comme une esclave au service de son Maître.

Avant de partir, je lui demande si elle veut que l’on programme une autre rencontre, une autre séance, elle me répond avec grand plaisir.

Je lui donne  un rendez-vous pour le vendredi suivant mais, avant notre rencontre, elle devra,  à partir de ce jour, ne plus porter de pantalon, de collant, de chaussure plate et surtout aucun sous vêtement et bien sur, ne pas choisir spécialement des vêtements qui aurais tendances à cacher sa nudité, de plus, elle devra tout les soirs se caresser en pensant à moi.

J’ai pendant la semaine envoyé des mails avec des ordres et défie à réaliser, des texto sur son mobile lui ordonnant d’aller  dans les sanitaires immédiatement pour se faire jouir avec le mini god que je lui est laissé, de s’attacher les chevilles le soir dans son lit, de passée des menottes au barreaux du lit et de imaginer que je suis en train de la soumettre.

Le vendredi venue, je suis aller à notre rendez-vous, suite à mon dernier mail, ma soumise m’attendais derrière la porte, les seins nus, sans petite culotte avec juste un porte jarretelle, des bas coutures, le collier et la laisse que je lui avais laissé ainsi que des escarpins noir vernis à talon très haut.

A genoux devant moi, prête à obéir à mes ordres, ma soumise est la, la tête légèrement penchée en signe de soumission.

Je lui dis de me donner sa laisse dans la main et lui intime l’ordre de me suivre à quatre pattes dans sa chambre.

J’avais remarqué à ma première visite que la chambre de ma soumise avait des poutres apparentes, des poteaux de soutènements à trois endroit.

Ces poteaux sont une aubaine pour moi, je dirige ma soumise verts un des poteaux, pose mon sac devant celui-ci, ouvre le sac et en sort mes cordes de différentes longueur.

Je place ma soumise devant ce poteau, prend ces poignets, les lies entre eux et les attache tirés verts le haut au poteau.

Cette position des plus inconfortables, oblige l’esclave à pousser ces épaules en direction du plafond et projet sa tête et son buste en direction du bas.

Les poignets et tous l’avant bras attachés au poteau, je prends d’autre cordes et commence une à une à lui attacher les chevilles de façon opposées, de t’elle sorte que ces jambes c’écarte d’au tend,  je fais de même au niveau des cuisses.

Pour parfaire ce bondage, je prends la laisse et la tire verts le bas pour pencher encore plus le corps de ma soumise et de la contraindre encore plus.

Il ne me reste plus que de lui imposer ce superbe bâillon pénis.

Dans cette position, ma soumise me présente sa chute de rein avec une invitation à s’occuper de lui.

Je prends un rouleau à résine que j’ai modifié, il est équipé à présent de toute petite pointe en inox qui lorsqu’elle roule sur la peau, provoque comme des griffures de femmes aux ongles longues.

Je roule mon instrument sur les fesses de ma soumise provoquant chez elle des tressaillements répétés, des sursauts, je descends du haut de ces fesse pour me diriger verts son sexe et passe mon rouleau entre ces cuisses, bien autour des ces grandes lèvres.

Vu la réaction de mon jouet, les cris à peine étouffés par  le bâillon, je pense avoir touché le poing sensible, je découvre à cette instant que ma soumise est une femme fontaine au moment de son orgasme puissant et répété.

Comme elle est dans une position très difficile à tenir longtemps, je la détache du poteau, l’allonge sur le sol et commence à  l’attacher de façon à ce qu’elle soit le buste et les bras complètements contraint à ne pouvoir bougés, les jambes liés du haut en bas et lui laisse en place le bâillon.

Je sors de mon sac un briquet, cela fait peur cela se voie à ma soumise puits, elle me voie sortir une bougie la, la peur ce transforme en interrogation.

J’allume ma bougie, laisse opérer la flamme et une fois la cire chaude et liquide, laisse couler sur les fesses de ma soumise.

La réaction est instantanée, ma soumise crie, pleur et jouie en même temps, je continu le long de son corps pour me diriger vers sa poitrine et laisser couler la cire chaude sur ces seins pendant que je lui administre une bonne fessée la, une explosion d’orgasme se fait entendre.

Je me penche verts elle, m’allonge à ces côtés, lui retire son bâillon, lui introduit mon sexe dans la bouche et lui donne l’odore de m’offrir une fellation pendant que je continu à lui verser la cire chaude sur le corps.

Le mélange de ces cris de jouissance avec ma verge dans la bouche est très intéressent, presque comme un instrument de musique pas très bien accordé mais, ma musicienne j’en suis sur ferra des propret par la suite.

Je me relève, me place devant elle, prend ces chevilles attachées dans mes mains, relève ces jambes pour me permettre d’avoir accès à son sexe et sans perdre de temps, la pénètre.

Je prends bien du plaisir à la baisser ainsi, complètement ligotée, attachée de bas en haut, prisonnière avec son bâillon pénis dans la bouche.

Une fois que j’ai bien pris du plaisir, je relève ma soumise, la porte  verts le salon, la pose sur la table pour me permettre de préparer la corde reliée au superbe lustre à l’ancienne qui orne le plafond, attache ma soumise à cette corde, tend celle-ci de façon à ce que ma soumise soit pendu à ce beau lustre.

Je laisse ainsi ma soumise, entièrement ligotée et bâillonnée, pendue à son lustre, en exposition dans son salon.

Au bout d’un moment, je dépends ma soumise, la détache entièrement et la laisse reprendre ces esprit.

 Une fois ma soumise opérationnelle, je lui demande de me conter tous ces ressenties, sa jouissance, ces orgasmes enfin tous les détaille.

Encore essoufflée, excitée, elle me raconte qu’elle n’avait jamais pris autant de plaisir, que le mélange de la douleur et de plaisir lui avais provoqué une décharge d’orgasme jamais attins jusqu’ici.

Karine c’est rhabillée, un petit baisé et nous nous somme quittés en partent chacun de son cotés.

Voila l’histoire de Karine.

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Cordialement

Maitre Fred.

Par tu.te.soumettra.erog.fr.erog.fr - Publié dans : Domination SM - Communauté : coquins de dijon
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