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Domination SM

Mardi 16 mars 2 16 /03 /Mars 17:40

Bonjour,

Aujourd’hui, je vais vous parler de ma rencontre avec Lydie.

Lydie est une jeune femme de 28 ans, professeur de lettre à la faculté,  pas très grande, voir même petite mais, d’une beauté comment dire, d’une miniature parfaite.

Les cheveux long,  blonds, les yeux verts, véritablement une beauté.

Lydie m’a envoyée plusieurs mails pour échanger ces impressions, des réflexions pertinentes sur les photos affichées sur mon blog et sur les nombreuses fautes de français.

Elle m’avoue avoir un peu bloquée sur ce dernier point, déformation professionnelle oblige mais que mes textes reflétant mes désires, envies, expériences  lui avait fait oublier ce problème qui somme-tout n’a rien à voir avec le sujet qui nous intéresse.

Lydie m’a envoyée d’autre mails plus ciblés sur des questions d’ordres, comment se passe les séances, la check-list dument rempile par la soumise est elle respectée, sur certain poing di sensible ect….

Lydie à commencer à me parler de chose plus personnelle la concernant, ces relations intimes avec des hommes qui ne la satisferai pas, que parfois, elle arrivait à expliquer, à demander son désire d’être prise un peu violement, attachée, bâillonnée comme une esclave, enchainée au pied d’un Homme comme une bête de compagnie.

Elle m’a fait part de sa passion pour les vêtements en latex et les escarpins à talon aiguilles, expliquant ces ressenties l’ors quelle les portais, dans certain mail, des photos d’elle habillée de latex, des tenues surtout en rapport avec les soubrettes, femme de chambre  m’expliquant que la sensation que lui apportai ces tenues et son imagination  lui donnai  bien du plaisir mais que malheureusement, aucun Homme rencontré, n’avait compris le sens de ces vêtements.


Kelly LM 001

J’ai demandé à Lydie ce qu’elle attendait de ces échanges par mail avec moi.

Elle m’à répondue qu’elle avait besoin de cette échange pour me connaître et ainsi, avoir le courage de franchir la cap et de s’abandonner à moi pour enfin, connaître l’extase d’être l’esclave d’un Maître, lui appartenir pas seulement par le sexe mais aussi par l’esprit, la pensée, le subconscient.

J’ai proposé à Lydie de commencer par une semaine d’obéissance virtuelle par mail, de suivre mes ordres à la lettre sans se poser de question, elle accepta.

Premier ordre par mail pour Lydie le dimanche soir.

Tu va aller dans un sex chop et acheter deux paires de menotte, un bâillon boule en latex, je veux que tu le place dans ta bouche devant le ou la vendeuse pour bien lui faire comprendre que tu est en train d’acheter ces menottes et ce bâillon pour toi et que c’est sur ton corps qu’ils serrons posées.

Une fois cette achat effectué, tout les soirs, tu passe cette jolie tenue se soubrette en latex ainsi que tes escarpin à talon haut, que tu m’as montrée en photo par mail, tu t’allonge sur ton lit, emprisonne tes chevilles avec une des paires de menottes, mes le bâillon dans ta bouche et le verrouille serré dans ton cou, utilise l’autre paire de menotte pour tes poignets. Une fois cette tache effectuée, tu ferme les yeux, pense à moi très fort pour convaincre ton esprit que je suis présent dans la pièce avec toi et j’observe le fait que tu exécute mes ordres.

La, tu commence à te caresser, d’une main ferme, presque viril pour simuler ma propre main.

Une fois cet ordre exécutés, tu m’envoie un mail pour me faire partager tes sensations et fantasmes.

Cette semaine est passée avec mon petit mail tous les soirs, m’expliquant que les sensations ressenties avait montées en puissances au fur et à mesure que la semaine passais et qu’elle avait réussie à sentir une présence dans sa chambre, un regard dure et exigent qui la surveillai exécuter  les ordres de son nouveau Maître.

Le dernier mail, elle m’avoue avoir jouie avec une grande intensité d’être ainsi dominée par un Maître enfin,  même si il est virtuel pour le moment.

A la fin de la semaine, un point est fait, je propose suite à ce point de ce rencontrer autour d’un bon verre, Lydie accepte sans hésiter. 

Pour montrer sa bonne volonté, j’ordonne à Lydie de venir avec une tenue vestimentaire choisie par moi.

Fétichiste des tailleurs jupe de belle facture, j’ordonne à Lydie de venir avec une ce type de vêtement, chaussée par ces escarpins à talon aiguilles, bas porte-jarretelle, sans soutien-gorge et sans petite culotte.

La un petit blanc ce fait entendre, une hésitation, je demande d’une voie ferme ce qui ne va pas et la, Lydie me réponds qu’elle n’avait jamais haussée mettre ces escarpins à l’extérieur, de ne pas avoir de sous-vêtement la gênais un peu, peur que les passants s’aperçoives qu’elle ne portait pas de sous-vêtements surtout, le regard des femmes qui remarque  facilement ce genre de chose.

J’explique à Lydie que si elle veut devenir une bonne soumise, une bonne esclave au service de son Maître, elle doit d’ai a pressent s’habituer à ne plus porter ce genre d’accessoires qui dans le fond, ne serre pas à grand-chose et gêne le Maître qui veut se servir de son jouet.

Cette réponse à fait comme un électro choque  à Lydie, cette phrase forte et très ciblée lui à faire comprendre que si elle décide de franchis la porte du don de soit et s’abandonner corps et âme à son Maître, elle serra effectivement devenue le jouet, la chose de son Maître disponible, comme il veut et ou il veut.

Un nouveau blanc se fait entendre et la, Lydie me dis,  que sa désistions est prise et que boire un verre ne l’intéresse plus, qu’elle veut tenter l’expérience de suite, maintenant et qu’elle est  prête à passer la porte de la domination.

Cette annonce change tout, je donne l’ordre à Lydie de venir ce samedi à Louhans, dans un bâtiment que je viens juste de terminer de construire et que des studios vides sont disponibles pour son initiation. 

Pour m’imposer  comme nouveau propriétaire de Lydie, je lui ordonne de venir non plus en tailleur et talon haut mais, en tenue de soubrette en latex avec aux pieds ces escarpins à talon aiguilles. 

Spécialiste des blancs, Lydie au bout d’un silence que j’avoue justifier, me répond d’un OUI MÂITRE. 

Le samedi arrive, j’attends Lydie au point de rendez-vous, sa voiture ce garde à cotée de la mienne, Lydie me regarde à travers la vitre, une expression d’inquiétude se voie sur son visage.

J’ouvre la porte de sa voiture et constate que Lydie a mis un grand manteau, très long qui couvre ces jambes et cache ce qui doit être normalement en dessous.

Elle descend, je la regarde de bas en haut et fixe un regard sévère sur ces chaussures.

Lydie croise ce regard, baisse les yeux et  m’avoue qu’elle n’arriva pas à conduire avec ces escarpins à talon aiguille et c’est pour cela qu’elle a mis ces vilaines chaussures à talon presque plat mais, qu’elle avait dans un sac ces escarpins et une fois entrée, les chausserais.

Une fois entrée dans le studio, je retire le manteau de Lydie, je découvre alors la tenue de soubrette en latex.


4.0
Le noir brillant du latex amoureusement nourrie par le produit  adéquate, le petit tablier blanc, les cheveux blonds de Lydie, un ensemble d’un sexy, d’un glamour impossible à vous décrire mais, d’une sensualité qui m’excite au plus haut point.

Lydie prends son sac, en sort une enveloppe et me la tend.

D’une voie douce et soumise, m’indique que dans cette enveloppe se trouve, sa check-list dument replie ainsi que sa lettre manuscrite, indiquant sa volonté de s’abandonner à moi, corps et âme.

Je prends l’enveloppe et commence à lire les documents.

Pendant ce temps, Lydie prends à nouveau son sac, en sort ces magnifiques escarpins à talon haut, retire ces affreuses ballerines et chausse la féminité à talon aiguille.

Je la voie fouiller à nouveau dans son sac pour en sortir une coiffe qui complet à merveille sa tenue de soubrette.

Après un échange sur les réponses de Lydie par rapport à la check-list, je lui demande si elle est prête à se donner à moi d’une manière complètement différente que l’or quelle se donne à un amant.

La, un blanc, un visage pas inquiet  mais, troublé.

Au bout d’un court instant, Lydie me tend ces bras, les mains jointes, m’annonce les yeux baissés,  oui  Maître, vous pouvez  faire de moi ce que vous voulez.

  J’ordonne à ma soumise de se lever et lui annonce que je vais l’inspecter pour vérifier si elle a bien obéie à mes ordres.

Elle se lever avec une petite appréhension dans le regard, le mot inspection la trouble.

En fait, cette vérification concerne ces sous-vêtements, il n’y a aucun doute sur le fait qu’elle ne porte pas de soutien gorge, le décoté de son haut en latex, fait apparaître des seins gonflés par la compression que provoque le latex sur sa poitrine.

Je prends une touffe de cheveux, forme une queue de cheval fessant office de poigner, une fois ma soumise tenue par cette poigner blonde, comme une laisse, je dirige ma main entre ces bas en latex et le retombé de son tablier qui à du mal à cacher, l’espace de peau nue qui se trouve être les deux.

Le touché de ma main sur cette peau nu et à cet endroit, provoque chez mon nouvelle esclave, un sursaut, des sensations qui ont l’air de faire effet.

Lydie avais bien respectée mes ordres et n’avais pas de petite culotte sous sa tenue en latex.

Je tire ma soumise par les cheveux et l’entraine vers le lit, la projet de façon à ce qu’elle tombe sur celui-ci.

Un peu surprise par cette petite violence, elle ce place sur le dos et attend.

Je lui dis de s’assoir sur le bord du lit, la je prends des cordes et lui attache petit à petit ces jambes des chevilles jusqu’aux cuisses.

Je prends d’autre cordes et commence à lui effectuer un bondage du torse, des bras et de la poitrine, ce qui met en valeur sa tenue en latex noir grâce aux cordes blanches, qui de plus , resserre encore plus sa poitrine, lui fessant ressortir encore plus fort ces seins.

Je prends dans mon sac, un superbe bâillon boule en latex rouge qui ce marie bien avec sa tenue.

Je place le bâillon dans sa bouche et verrouille fermement, bien serré les lanières de cuir.

Ma soumise est à ma merci, pieds et poings liés, bâillonnée complètement à ma disposition.

Je m’assoie à coté d’elle, lui passe la main sur le visage, la poitrine, les jambes de façon à ce qu’elle ressent mon emprise sur elle, ma possession.

Je me lève, prends les jambes de Lydie de façon à l’allonger sur le lit, je la retourne pour le positionner sur le ventre, prends une corde, l’attache au niveau des chevilles, tire sévèrement sur la cordes.

La corde tendue, les genoux se plies et amène les chevilles de ma soumise à la hauteur de ces fesses, le lie cette corde aux autres cordes qui lui attaches les bras et le buste de façon à ce qu’elle soit complètement bloquée, impossible d’effectuer un seul mouvement.


4.6

Une fois cette position sévère d’accord mais,  des plus excitante exécutée, je coiffe ces cheveux en arrière, sort un foulard de mon sac et lui bande les yeux avec.

En plus de cette position des plus emprisonnant au poing que vous ne pouvez imaginer, bâillonnée, les yeux bandés, ma soumise doit à ce moment ce croire dans un fantasme, son entre-jambe doit être des plus mouillée.

Je la laisse ainsi un bon moment, lui laissent savourer cette situation don elle a rêvé depuis si longtemps.

Je me dirige vers elle, retrousse légèrement sa tenue latex au niveau des fesses et commence à alterner caresses et fessées sur ces rondeurs intimes.

Des petits cris se fond entendre coupés de temps en temps par des gémissements de plus en plus rapprochés qui ressemble curieusement à des manifestations de plaisirs.

Je retire le bâillon boule et  met un doigt dans sa bouche, fait de va et viens tout en lui fouettent les fesses avec un petit martinet.

J’introduis deux doigts et continue avec le martinet mais légèrement plus fort.

J’introduis ma verge dans sa bouche tout en la fouettant bien plus fort avec le martinet.

Au bout d’un moment, je déclenche une inondation dans cette petite bouche si accueillante.

Ma soumise avale ma foutre sans ce faire prier, je lui ressuie ces jolies lèvres ou il reste un peu de ce rouge à lèvres d’un rouge très glamour.

Je détache entièrement ma soumise pour la laisser souffler et, comme j’aime le faire pendant, cette courte pose, lui ordonner de ma faire part de ces ressenties, le niveau de plaisir obtenue et bien sur si l’ont continue cette séance qui je dois dire, se passe très bien.

Lydie me relate ces ressenties, son plaisir et m’avoue avoir jouie dans ces entraves, cela lui plait énormément, ces bien plus fort qu’elle ne l’espérait et que plutôt deux fois qu’une, est prête à reprendre la séance pour connaître d’autre sensation et un plaisir certain.

Je remarque un joli petit fauteuil dans ce logement témoin, cela me donne une bonne idée.

J’ordonne à ma soumise de venir se positionner à genoux devant le fauteuil, lui attache les jambes et les bras, sort une laisse de mon sac, lui passe autour du cou le collier, met le mousqueton de la laisse sur le collier.


56.0Je prends une brosse à cheveux, retrousse le latex pour dégager les fesses de ma soumise, commence à lui repeindre en rouge ces jolie fesses ronde avec la brosse.

Sans bâillon, j’entends les cris, les halètements, les gémissements de ma soumise, frappée par la brosse à cheveux.

Je prends dans mon sac un beau petit sex toy anal que je dirige verts la bouche de ma soumise, lui donne l’ordre de le lubrifier avant de le ranger ou il doit être.

Ma soumise ouvre sa bouche et, j’introduis le sex toy.

J’effectue des va et viens dans sa bouche et une fois bien mouillé, je place dans les jolie petites fesses l’objet du désir.

Je sens un coup de rein, de recule de mon jouet vivant, je continue d’introduire le sex toy jusqu’à ce que l’anus l’ai toute avalé.

Des gémissements se font entendre en même temps que j’introduis le petit sexe et que je frappe sur les fesses de ma soumise.

Une fois terminé de jouet sur le coté pile de ma soumise, je retire mon pantalon, me glisse sur le fauteuil qui se trouve face à mon jouet humain et m’assoie royalement devant elles lui intiment l’ordre de me donner du plaisir avec sa bouche.

Lydie s’exécute et m’offre une fellation douce et bien faite.

Une fois ce plaisir effectué, j’introduis un jolie  bâillon pénis dans la bouche de ma soumise, le verrouille fermement,  lui laisse en place le sex toy anal, me place derrière elle et lui caresse les grand lèvres, le clitoris, pénètre son intimité avec mes doigts, effectue des va et viens avec ceux-ci.

Une fois ma soumise prêt à devenir ma chose, mon esclave, je penche fermement le cou de ma soumise de t’elle façon que son buste vienne se poser sur l’assise du fauteuil, prends la laisse en main et pénètre d’un coup sec ma soumise.

Pendant que je vais et je viens en elle, je tire la laisse par petit coup, pour que ma soumise attachée, ligotée, bâillonnée comprenne au plus profond elle qu’elle est à moi, son corps bien sur mais sa n’importe qu’elle amant à ce genre de possession mais en plus son âme, son subconscient m’appartiens.

Cette acte sexuel apporte à ma soumise une explosion d’orgasme que le bâillon pénis a du mal à étouffer, des cris des pleurs se mélange à la jouissance et cette situation dur un bon moment.

J’entends sa respiration s’emballée, les battements cardiaque s’affoler dans le corps de mon jouet.

Elle finit par tomber sur la moquette complètement mouillée et vidée par cette séance.

J’ai détachée ma soumise, lui enlève le sex toy et le bâillon, la prends dans mes bras et la pose délicatement sur le lit.

Je coiffe ces cheveux en arrière de façon à ce qu’il ne soit plus sur ces jolis yeux.

Lydie sort de son état semi-comateux, me regard, me sourie.

Une fois que Lydie à récupérer, je lui pose des questions sur notre séance, ce qu’elle a ressentie, si sa jouissance était plus forte ou égale à ce qu’elle avais déjà connue avec des amants au relation standard, a-t-elle réalisée ces fantasmes et était il aussi forts qu’elle l’avais rêver ?

Lydie ma répondue avec sincérité et franchise, elle n’avait jamais crue que de t’elle sensation serait apportées par la domination, le bondage et la soumission, elle en rêva bien sur mais de la à croire qu’une t’elle jouissance pouvait exister cela était pour elle de l’abstrais.

Après un bon échange, nous avons convenues d’un autre rendez-vous, Lydie à répondue d’un ho oui avec joie Maître.

Le rendez-vous est fixer pour la semaine prochaine, Lydie doit venir cette fois en tailleur jupe, avec ces escarpins à talon haut qu’elle puisse conduire ou pas, cela de me concerne pas, elle a une semaine pour entrainer, une coiffure comme indiquée par mes soins, un maquillage du même crus.

J’ai promis à Lydie une séance haute en couleur, en sensation et en pose de bondage des plus inconfortable et bien sur sa disponibilité sexuelle  comme je veux et ou je veux.

Voila l’histoire de Lydie, j’ai révoqué Lydie voila quelque temps car,  j’ai appris par une gaffe de sa part qu’elle voyait un Homme entre nos rencontre pour ce faire sauter comme une femme et non comme une soumise,  qui de toute façon n’a pas le droit d’être utilisée par un autre Home pendant que je suis sont propriétaire.

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Bien cordialement

Maître Fred  

Par tu.te.soumettra.erog.fr.erog.fr - Publié dans : Domination SM - Communauté : coquins de dijon
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Jeudi 18 mars 4 18 /03 /Mars 19:06

Bonjour,

Aujourd’hui, je vais parler un peu de moi.

Voila bientôt quatorze ans que je domine des femmes, les soumettant à mes envies, mes caprices, les ligotant bref, mon plaisir de Maître.

 Fort de l’expérience de  mes 9 soumises rencontrées et dressées, j’aimerai maintenant me consacrer à deux femmes soumises, habitant de préférences sur ma région de Saône & Loire, pas trop loin de Chalon sur Saône pour me permettre de les dominer, quand t’il me plait et aussi souvent que je le désire.

Ces deux candidates, devront avoir entre 18 et 40 ans, de préférence une blonde et une brune, une plastique au dessus de la moyenne, de bonne éducation, un style très classique et féminin, un poste à responsabilité ou des études de très bon niveau, aucune vulgarité, j’ai horreur de cela.


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Ma recherche concerne deux personnes du sexe féminin, motivées pour être dominées, à dispositions de leurs Maître.

La vie vous a gâtée toute les deux, vous avez l’intelligence, la beauté, les Hommes se retourne sur votre passage et les autres étudiants vous dévorent des yeux.

Pourtant, quelque chose vous fait défaut, un vide dans votre vie, vous avez tous, même peut être,  un confort financier mais, cela ne vous aident pas à résoudre ce vide.

A chaque fois que vous levez un amant, que vous passez à l’acte avec lui, après réflexion cette partie de jambe en l’air ne vous apporte pas la jouissance recherchée mais, vous ne comprenez pas pourquoi.

Permettez-moi de vous l’apprendre, il est vrais que vous avez tous, même les Hommes que vous avez envie de croquer, mais au plus profonds de vous, cette petite voie qui vous dis souvent pendant l’acte sexuel, dis lui que tu a envie d’être prise avec violence, d’être forcée, d’être dominée, attache-moi, prends moi, sert toi de moi comme d’une esclave.

Voila votre vie, vos désire secret enfuit au plus profond de vous, pour temps cette petite vois vous la rejetez, la refusez en vous fessant violence intérieurement pout ne pas accepter que vous êtes une soumise au plus profonds de vous, une esclave prête à servir un Maître ou il voudra et come il voudra, à sa disposition corps et âme.


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Pour une soumise qui a chance d’avoir un Maître imaginatif, expérimenté, qui s’occupe d’elle de façon régulière et plaine, un Maître toujours la pour la soumettre, la ligoter, bâillonnée, la prendre d’une façon différente, lui faire découvrir l’extase, la jouissance extrême provoquée par la soumission, le don de soi, ne plus être Maitre de son corps ni de son âme, de son subconscient.

Pour ma part, ma jouissance viens du fait que justement, vous avez tout, la beautés, l’intelligences, le fait pour moi de vous dominer prouve que j’ai réussie dans ma vie de Maître, car je m’excuse par avance auprès des femmes aux physiques pas facile et au rondeurs trop présentes mais, il est plus facile de coucher ou de dominer une femme de ce type qu’un canon.

C’est pourquoi ma recherche de ces deux soumises ce porte sur des jeunes femmes au physiques agréables, aux cerveaux présents.


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Mesdames, j’attends vos candidatures par mail, m’expliquant vos motivations, vos expériences, votre situation matrimonial, une photo et ma check-list .

J’attends de vous un minimum de don de soi, une obligation de suivre mes ordres au point de vu vestimentaire, une disponibilité sans faille, un corps offert à mes désires et volonté, une obligation de me servir toute les deux en même temps et de me distraire par des jeux et des actes que je vous ordonnerais d’effectuer devant moi et pour moi.


Heidi 001 DSC03829Comme d’habitude, je vous montre quelque photos empruntées sur le net, puisque malheureusement pour moi, je n’arrive pas à trouver une soumise qui accepte de devenir mon icône, la star de ce blog, mon mannequin fétiche et ainsi avoir enfin,  mes propre photos sur mon blog.  

Je vous rappel mon mail :

simplebondage@yahoo.fr

Maître Fred      

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Jeudi 18 mars 4 18 /03 /Mars 22:30

Bonjour,

Voici l’histoire de Karine.

Karine est une femme de quarante cinq ans, divorcée, deux grands enfants, cadre supérieure dans une industrie de pointe.

Physiquement,  une bonne taille, les cheveux courts (dommage) bruns, les yeux noisette.

Karine à quittée son mari voila sept ans, plus de vie en commun ni rien d’intime à partager de plus, son mari lui a toujours refusé ces demandes de jeux intimes pour temps demandés, réclamés à de nombreuses reprise.

Sa réponse sur la demande de Karine, si je veux une pute il y en n’a plein les trottoirs.

L’ex mari de Karine n’a rien compris le pauvre, ni le plaisir qu’il a perdu en ne soumettant pas sa femme qui le réclamai à corps et à cris et encore moins le fait de lui offrir ce beau cadeau de la garder auprès de lui bref, un idiot.

Karine est restée quelque années seule, de petite aventures intimes par ci par la, sans grand résulta.

Elle a tentée un jour les femmes dominatrices, lesbiennes qui sont souvent encore plus dure que les Maître avec leurs soumises.

La, bien mais ce que recherche Karine c’est la domination d’un Homme, d’un Maître, lui appartenir corps et âme sans droit de désistions sur elle-même.

Elle a donc surfée sur le net pour trouver l’oiseau rare, de mail en mail, d’échange avec d’autre soumises, elle à finis par tomber sur moi.

Les mails de Karine étais au début très prude, très réservés, petit à petit, Karine c’est lâchée et  c’est devenue plus libre, moins coincée avec moi.

J’ai répondu à ces questions, les mêmes en générale que les autres femmes me posent par mail.

Pourquoi j’aime dominer, attacher, ligoter les femmes, les prendre sans réservent à leurs égard, aimer les fouetter, les fesser bref, une liste longue mais qui pour moi, reflète plus un désire de ce comprendre que de comprendre l’autre.

Les échanges de mail on durés deux mois, Karine m’envoyai un mail de temps en temps, régulièrement tous le weekend, tous les deux jours et pour finir, tout les soirs.

J’ai proposé à Karine de ce rencontré en tout bien tout honneur dans une brasserie pour boire un verre.

Elle m’a répondue que le lendemain, avouent plus tard n’avoir haussée me répondre oui de suite, sans attendre comme une glace qui vous fait envie en plaine été.

Le jour du rendez-vous, Karine c’est présentée à moi dans une superbe robe de type croisée sur le buste, laissent voir juste ce qu’il faut de sa poitrine pour attirer le regard des Hommes, une jolie souplesse du tissus permet  une démarche très féminine, soulignant une silhouette aux rondeurs très attirantes.

Cette robe très glamour, très classe est rehaussée par les escarpins à talon haut à la couleur identique à la robe.

Je me suis levé pour accueillir Karine et l'invité à prendre place à la table.

Une fois assise, son regard avait bien du mal à croiser le mien, le serveur nous a apporté notre commande et à partir de cet instant, nous devions être tranquilles pour discuter.

J’ai demandé à Karine si cela avait été facile de venir, elle me répond sans hésitation que oui car toute cette période d’échange de mail lui avais permise de me connaître et de ne pas avoir peur d’une possible rencontre.

Je l’ai félicité pour sa tenue vestimentaire que j’ai trouvée de bon goût, très couture.

Cet petit compliment a hu l’air de faire grand plaisir à Karine et de surcroit, a permis de la décoincer.

La conversation est devenue plus cool, moins stressée, Karine c’est laissée aller sur des questions plus intimes sur mes expériences, mes désires, mes souhaits.

J’ai répondu à Karine, j’ai fait de même avec elle, de question en question, d’échange en échange, notre rendez-vous était très constructif.

Au bout d’une heure et demie, j’ai demandé à Karine ce qu’elle concluait de cet échange, des réponses données à ces questions, de mes interrogations à son égard.

Elle me répondit qu’elle était heureuse d’avoir enfin trouvée ce qu’elle cherchait depuis si longtemps.

Voici le moment de LA question, c’elle que redoute souvent les femmes que je rencontre, alors ai tu prête à passer la porte de mon royaume, la ou les femmes devienne mes esclaves pour leurs plus grand plaisir et le mien, endroit ou tu découvriras des sensations encore inconnues et la découverte de ton corps et subconscient.

Le grand blanc habituel c’est fait entendre au moment, ou je pose cette question.

Karine me regarde deux secondes, baisse les yeux et me dis oui, ma désistions est prise, je veux tenter l’expérience.

Je l’informe que cela ne serra pas possible ce jour, mais comme demain ont n’ai samedi, je suis disponible.

Karine me répond que cela l’arrange ce samedi car elle n’a pas les enfants, c’est le tour de son mari.

Elle me donne son adresse et je fixe une heure de rendez-vous.

J’aime je l’avoue,  quand ma nouvelle soumise que je viens juste de conquérir m’invite chez elle pour notre première séance, je suis flatté de la confiance qu’elle a en moi.

Avant de nous séparer, j’ordonne à Karine,  pour preuve de sa soumission d’aller dans les sanitaires de la brasserie, d’ôter sa petite culotte et son soutien gorge, de revenir vers moi et de me les remettre en main propre j’ajout, que je lui rendrai demain à notre rendez-vous.

Karine rougie, n’ose pas se lever, je la regarde droit dans les yeux, plisse les sourcils.

Karine comprend, se lève et se dirige verts les sanitaires.

Au moins quinze minutes se passe avant qu’elle ne revienne, elle m’avouera plus tard, qu’une fois à l’intérieure, il a fallu qu’elle se face violence pour retrousser sa robe, ôter sa petite culotte, son soutien gorge, se poser la question ou les cacher car je lui avais interdis de prendre son sac.

Une fois devant moi, sa petite culotte et son soutien gorge mis en boule dans sa main, serrés le plus possible pour que les gents autour de nous ne s’aperçoives de rien, elle me tend ces dessous.

Je les prends avec je dois dire une certaine lenteur calculé et un petit geste de la main pour que le soutien gorge soit plus visible aux yeux des passants.

Karine rougie à nouveau et cherche du regard un trou de sourie.

Elle se penche verts moi, m’embrasse sur les joues, je tourne la tâte rapidement pour que son deuxièmes baisés se retrouve sur ma bouche.

Je voie s’éloigner Karine, troublée par cette rencontre et je pense par la séance de demain.

Samedi, je sonne à sa porte, Karine m’ouvre et m’invite à entrer.

Un superbe tailleur jupe lui habille son corps de façon sublime, la veste croisée laisse apparaitre une poitrine nue sans sou vêtement, les tétons apparaisse de façon furtives.


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 La jupe droit, me permet d’admirer les superbes jambes de Karine qui de surcroit son habillée de bas noir à couture très glamour.

C’est escarpins à talon aiguilles complet l’ensemble vestimentaire.

Cotés coiffure et maquillage, rien à dire, très sophistiqués l’un comme l’autre, tout se que j’aime.

Karine une fois refermer la porte, porte son regard sur mon sac à malice, je peux percevoir un visage curieux, interrogateur.

Je regarde Karine avec un sourire et lui explique que dans le ce sac, se trouve mes accessoires de plaisir, quelle ne tardera pas à découvrir et à aimer.

J’invite Karine à s'assoir à cotés de moi sur le canapé, lui propose d’une voie tranquille de regarder et de déballer elle-même les jouets qui se trouve dans mon sac.

Karine très curieuse comme toutes les femmes ne se fait pas prier pour fouiller.

Première article de plaisir qui sort du sac, les cordes blanches, elle les regarde, les touchent, replonge la main dans le sac et la, c’est le tour du bâillon boule en latex noir.

La, Karine regarde cet objet avec un visage impressionné et curieux, je lui demande si l’expérience qu’elle avait hu avec la dominatrice qu’elle avait rencontrée, lui avais permise de voir, toucher cet article.

Karine me répond que non, en fait, elle a bien rencontrée une lesbienne dominatrice adepte du BDSM mais, au premier rendez-vous, elle a hu peur quand sa Maîtresse lui a mis les bras dans le dos pour la ligoter et que son regard est tombé sur une collection de god et de martinet sur une étagère.

Elle c’ai excusée auprès de la Maîtresse en question et a fuit.

Son regard revient sur le bâillon, le touche du bout de doigts, je lui propose de le mettre elle-même dans sa bouche sans pour autant le verrouiller.

Karine prend le bâillon, le dirige verts sa bouche, ouvre celle-ci et d’un geste ferme, redescend son bras pour poser le bâillon sur la table et m’annonce qu’elle préfère avoir la surprise et que se soit moi qui le met en place.

Elle tombe cette fois sur les outils pour lui bander les yeux la pas de réaction, il est vrais que cela n’ai pas très impressionnent.

Elle continue à vider mon sac et en sort les sex toys de différentes tailles et de destination avec ho stupeur, celui que je préfère, motorisé avec télécommande.

La sa tête change, son expression marque une curiosité autant qu’une appréhension.

Elle pose rapidement ces objets sur la table basse, je prend sa main et lui dis qu’il est grand temps de commencer la séance.

Je voie que Karine est tressée, je décide de commencer par un bondage simple mais, une bonne entrée en matière pour une débutante.

J’invite Karine à s'assoir sur une  belle chaise en chêne avec des barreaux sculptés.

Je prends ces mains, les dirige verts l’arrière de la chaise pour les attacher, Karine se laisse faire.

Une fois ces poignets attachés, je continu et ligote ces bras, prend une autre corde et commence à lui effectuer un bondage du torse et de la poitrine, je passe plusieurs fois le plus prêt possible de ces seins de façon à effleurer ces tétons qui pointe.

J’entends sa respiration s’accélérer, je prends d’autre corde, me met à genoux devant elle pour commencer à attacher ces chevilles (mon moment préférer, je suis fétichiste des chevilles de femme) j’attache ces jolies chevilles fines, ligote ces mollets et serre bien ces cuisses en passant bien lentement à chaque passage entre ces cuisses.

Karine est entièrement prisonnière de ces membres et de cette chaise, à ma complète disposition.

Je prends le bâillon boule sur la table basse, Karine regard cet objet s’approcher verts elle avec inquiétude.

Tout à l’heure elle a jouée les brave pour mettre cet article elle-même maintenant, elle n’a plus le chois et doit l’accueillir dans sa bouche.

J’introduis le bâillon dans sa boule, me dirige derrière elle et verrouille les sangles dans son cou.

Je prends un foulard et lui bande les yeux.

Voila, ma soumise est prête, à moi et je suis le seul qui peux la libérant quand bon me semble.

Je laisse ainsi ma soumise ressentir et fantasmer seul, dans ces pensées, privée de la vu et de la parole, incapable de faire un geste.

Au bout d’un moment, je dirige ma main vers ce décoté qui m’invite à visiter.

22
Je glisse ma main de façon à saisir les seins et les tétons de ma soumise la, mon nouveau jouet tente une esquive mais ne peux le faire.

Je caresse ces seins et titille bien ces tétons, des gémissements se font entendre à travers le bâillon boule, ces jambes trembles.

Je déboutonne sa veste et le fait glisser de chaque cotés en servent des cordes pour empêcher le tissus de revenir à sa position initial.

Je prends un petit martinet que j’utilise régulièrement pour fouetter les seins.

Je commence doucement, des passages sur l’ensemble de la poitrine, entre les seins puis, augmente la rapidité et l’intensité régulièrement.

Des cris mélangés à des gémissements se font entendre.

Avec mes lèvres, le titille les tétons en les prenants entre celle-ci, les mouillent et aussi taud en soufflant dessus très fort, cela créer un chaud et froid qui provoque des sensations excitante chez ces dames.

Je décide de mordre légèrement et ensuite plus ferment les tétons de ma soumise, les cris sont de plus en plus fort et cela me plait.

Je détache en partie ma soumise de façon à la séparer de la chaise mais, qu’elle reste attachée et bâillonnée.

Je la lève, la retourne, la force à s’agenouiller et lui pose la tête sur l’assise de la chaise.

Ma soumise est à genoux, pied et poings liés, bâillonnée bref, à ma merci.

Je retrousse sa jupe, prends une raquette de Ping pong et commence à la fessée de façon aléatoire.

Toute en lui infligent cette fessé, je commence à lui caresser ces grande lèvres, son clitoris et à entendre, cela plait beaucoup.

Ma soumise est prêt à s’offrir à son Maître, je plaque bien son visage contre l’assise de la chaise pour lui faire ressentir ma possession et commence, à la pénétrer.

J’effectue des va et viens dans son corps, dans ces entrailles avec bien du plaisir et, à écouter les cris de plaisir qui sorte de sa bouche étouffée, cela est la même chose pour elle.

J’éjacule et jouie, donne une bonne fesses pour récompenser ma soumise, me  relève, me dirige devant elle, m’assoie sur le fauteuil, retire le bâillon de la bouche de ma soumise et dirige sa bouche sur ma verge pour quelle n’nettoyé l’outil de plaisir.

Ma soumis commence à effectuer une fellation à son Maître et lui donne le plaisir qu’elle lui doit.

Une fois mon plaisir atteint, je détache ma soumise et la laisse souffler.

Maintenant que l’esprit est de retour, je questionne ma soumise sur ces impressions.

La voila partie dans une cascade d’explication,  excitée comme une puce à me raconter ces orgasmes et jouissances.

Karine est comblée, elle ne pensait pas m’avouera t’elle avoir au tend de plaisir d’être prise ainsi comme une esclave au service de son Maître.

Avant de partir, je lui demande si elle veut que l’on programme une autre rencontre, une autre séance, elle me répond avec grand plaisir.

Je lui donne  un rendez-vous pour le vendredi suivant mais, avant notre rencontre, elle devra,  à partir de ce jour, ne plus porter de pantalon, de collant, de chaussure plate et surtout aucun sous vêtement et bien sur, ne pas choisir spécialement des vêtements qui aurais tendances à cacher sa nudité, de plus, elle devra tout les soirs se caresser en pensant à moi.

J’ai pendant la semaine envoyé des mails avec des ordres et défie à réaliser, des texto sur son mobile lui ordonnant d’aller  dans les sanitaires immédiatement pour se faire jouir avec le mini god que je lui est laissé, de s’attacher les chevilles le soir dans son lit, de passée des menottes au barreaux du lit et de imaginer que je suis en train de la soumettre.

Le vendredi venue, je suis aller à notre rendez-vous, suite à mon dernier mail, ma soumise m’attendais derrière la porte, les seins nus, sans petite culotte avec juste un porte jarretelle, des bas coutures, le collier et la laisse que je lui avais laissé ainsi que des escarpins noir vernis à talon très haut.

A genoux devant moi, prête à obéir à mes ordres, ma soumise est la, la tête légèrement penchée en signe de soumission.

Je lui dis de me donner sa laisse dans la main et lui intime l’ordre de me suivre à quatre pattes dans sa chambre.

J’avais remarqué à ma première visite que la chambre de ma soumise avait des poutres apparentes, des poteaux de soutènements à trois endroit.

Ces poteaux sont une aubaine pour moi, je dirige ma soumise verts un des poteaux, pose mon sac devant celui-ci, ouvre le sac et en sort mes cordes de différentes longueur.

Je place ma soumise devant ce poteau, prend ces poignets, les lies entre eux et les attache tirés verts le haut au poteau.

Cette position des plus inconfortables, oblige l’esclave à pousser ces épaules en direction du plafond et projet sa tête et son buste en direction du bas.

Les poignets et tous l’avant bras attachés au poteau, je prends d’autre cordes et commence une à une à lui attacher les chevilles de façon opposées, de t’elle sorte que ces jambes c’écarte d’au tend,  je fais de même au niveau des cuisses.

Pour parfaire ce bondage, je prends la laisse et la tire verts le bas pour pencher encore plus le corps de ma soumise et de la contraindre encore plus.

Il ne me reste plus que de lui imposer ce superbe bâillon pénis.

Dans cette position, ma soumise me présente sa chute de rein avec une invitation à s’occuper de lui.

Je prends un rouleau à résine que j’ai modifié, il est équipé à présent de toute petite pointe en inox qui lorsqu’elle roule sur la peau, provoque comme des griffures de femmes aux ongles longues.

Je roule mon instrument sur les fesses de ma soumise provoquant chez elle des tressaillements répétés, des sursauts, je descends du haut de ces fesse pour me diriger verts son sexe et passe mon rouleau entre ces cuisses, bien autour des ces grandes lèvres.

Vu la réaction de mon jouet, les cris à peine étouffés par  le bâillon, je pense avoir touché le poing sensible, je découvre à cette instant que ma soumise est une femme fontaine au moment de son orgasme puissant et répété.

Comme elle est dans une position très difficile à tenir longtemps, je la détache du poteau, l’allonge sur le sol et commence à  l’attacher de façon à ce qu’elle soit le buste et les bras complètements contraint à ne pouvoir bougés, les jambes liés du haut en bas et lui laisse en place le bâillon.

Je sors de mon sac un briquet, cela fait peur cela se voie à ma soumise puits, elle me voie sortir une bougie la, la peur ce transforme en interrogation.

J’allume ma bougie, laisse opérer la flamme et une fois la cire chaude et liquide, laisse couler sur les fesses de ma soumise.

La réaction est instantanée, ma soumise crie, pleur et jouie en même temps, je continu le long de son corps pour me diriger vers sa poitrine et laisser couler la cire chaude sur ces seins pendant que je lui administre une bonne fessée la, une explosion d’orgasme se fait entendre.

Je me penche verts elle, m’allonge à ces côtés, lui retire son bâillon, lui introduit mon sexe dans la bouche et lui donne l’odore de m’offrir une fellation pendant que je continu à lui verser la cire chaude sur le corps.

Le mélange de ces cris de jouissance avec ma verge dans la bouche est très intéressent, presque comme un instrument de musique pas très bien accordé mais, ma musicienne j’en suis sur ferra des propret par la suite.

Je me relève, me place devant elle, prend ces chevilles attachées dans mes mains, relève ces jambes pour me permettre d’avoir accès à son sexe et sans perdre de temps, la pénètre.

Je prends bien du plaisir à la baisser ainsi, complètement ligotée, attachée de bas en haut, prisonnière avec son bâillon pénis dans la bouche.

Une fois que j’ai bien pris du plaisir, je relève ma soumise, la porte  verts le salon, la pose sur la table pour me permettre de préparer la corde reliée au superbe lustre à l’ancienne qui orne le plafond, attache ma soumise à cette corde, tend celle-ci de façon à ce que ma soumise soit pendu à ce beau lustre.

Je laisse ainsi ma soumise, entièrement ligotée et bâillonnée, pendue à son lustre, en exposition dans son salon.

Au bout d’un moment, je dépends ma soumise, la détache entièrement et la laisse reprendre ces esprit.

 Une fois ma soumise opérationnelle, je lui demande de me conter tous ces ressenties, sa jouissance, ces orgasmes enfin tous les détaille.

Encore essoufflée, excitée, elle me raconte qu’elle n’avait jamais pris autant de plaisir, que le mélange de la douleur et de plaisir lui avais provoqué une décharge d’orgasme jamais attins jusqu’ici.

Karine c’est rhabillée, un petit baisé et nous nous somme quittés en partent chacun de son cotés.

Voila l’histoire de Karine.

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Cordialement

Maitre Fred.

Par tu.te.soumettra.erog.fr.erog.fr - Publié dans : Domination SM - Communauté : coquins de dijon
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Mercredi 24 mars 3 24 /03 /Mars 18:57

Bonjour,

Aujourd’hui, je vais vous raconter l’histoire de ma rencontre avec Brigitte.

Brigitte est une jeune femme de vingt huit  ans, ingénieur agronome dans l’industrie alimentaire, grande un mètre soixante douze pour soixante deux kilogrammes.

Des cheveux longs et châtain foncés, les yeux noisette.

Brigitte m’a contactée pour que l’on face connaissance par mail pour commencer et ensuite peut être, une rencontre m’avait elle écrit.

Nous avons donc échangés par mail pendant un certain temps, je vous avoue ne pas avoir pris note du début et de fin de ces  courriers.

Elle m’a fait part pour commencer de sa vie, de ces loisirs, de ces passions, sa  profession et des problèmes qui en découlent bref,-elles en quelque sorte.

Ensuite est venue le temps des échanges plus intimes, plus personnel, ces aventures sexuelles, ces déceptions, ces fantasmes seuls dans son grand lit.

Elle m’avait même fait part dans un de ces mail, d’un Homme qu’elle avait rencontrée dans une soirée la veille et qui c’était terminé rapidement puisque cet Homme, lui avait demandé, de l’attacher au lit pour venir s’empaler elle-même sur son pénis.

Son mail était claire l’or qu’elle me fit part de cette aventure, une grande déception et une envie des plus primaires de lui taper dessus en le traitent de minable, de petite bit et de lui hurler à l’oreille que c’est elle qui voulais être ligotée, bâillonnée et prise comme une esclave, un objet sexuel

Un jour, un mail de Brigitte me demandât un rendez-vous, une rencontre.

C’est avec joie que je lui ai proposé un soir d’été de venir boire un verre pour faire connaissance.

Brigitte c’est présentée à moi cette  fameuse fin de journée, dans une jolie robe d’été fluide et bien taillée, de beaux escarpins avec des talons de bonne démentions, assortie à sa robe.

J’ai invité Brigitte à ma table, elle avait un visage qui reflétai un stresse certain, j’ai appelé le serveur pour passer notre commande et une fois nos consommations servies, j’ai commençai à parler pour détendre l’atmosphère.

Brigitte à changée de visage, des trais moins inquiet et plus détendus apparaisse, elle a croisée ces jambes, laissent apparaître le galbe de celle-ci, très, fines et longues.

 

La, les questions on commencées à fuser, Brigitte allai de question en question comme une drogue, excitée avec de temps en temps, un d’arrêt pour scruter autour d’elle et vérifier que des oreilles indiscrètes c’étais glissées prêt de nous.

J’ai due au bout d’un moment mettre les haut la pour stopper Brigitte dans sa soif de question réponse et pouvoir glisser les miennes.

Un bonne échange a fini par c’établir au bout d’un moment et magret la présence des passants, Brigitte c’est laissée aller à me répondre sur des questions précise et intimes.

L'heure tourne et il est temps de se séparer la, je pose la question fatidique à Brigitte : alors veux tu tenter l’expérience avec moi et devenir la soumise d’un Maître expérimenté et exigent ?

Brigitte m’a regardée, a voulue sortir une réponse de sa bouche mais, le son n’ai pas sortie du premier coup, étouffé par l’angoisse et le stresse d’une telle réponse.

Elle avale sa salive, reprend sa respiration est m’annonce que oui, elle veut bien tester avec moi cette expérience.

Le rendez-vous est fixé pour le lendemain, un vendredi après midi dans l’appartement d’une amie de Brigitte partie en vacance.

Avant de ce quitter, je rappel à Brigitte qu’elle doit être à ce rendez-vous en tenue adéquate selon mes goûts et prêt à obéir  à mes ordres quel qu’il soit, Brigitte avec une hésitation et une grande émotion me répond d’un oui ferme en sans quiproquo.

Le vendredi après midi est la, Brigitte aussi, dans un superbe tailleur rouge/bordeaux, des escarpins pratiquement de la même couleur en nubuck, une coiffure sophistiquée et un maquillage discret mais présent.

Brigitte ouvre la porte de l’appartement de sa copine et me fait entrer.

Elle se retourne, me regarde apparemment très encenseuse, je lui dis pour la détendre, tu me fais visiter ? La un sourire et oui me répond t’elle, avec plaisir.

Je pose mon sac sur la petite table basse de l’entrée et la suit.

Les pièces défile les une après les autre pour, terminer par la chambre à couchée ou j’avoue, avoir décelé chez Brigitte une envie, un sourire en entrant dans cette pièce.

Je prends la main de Brigitte dans la mienne et lui dis,  maintenant il est temps de passer à ton initiation.

Viens avec moi dans le salon, assis toi sur le canapé, tes jambes bien l’une contre l’autre et tes bras dans le dos, les poignets l’un au dessus de l’autre.

Brigitte s’exécute avec un mélange de stresse et de joie d’avoir enfin la possibilité de tester en réelle ces fantasmes de soumissions.

Je lui annonce que je vais l’attacher au niveau du buste mais aussi des jambes, très sévèrement, très serrée pour qu’elle ait plus qu’une idée d’être ainsi possédée par son Maître à travers mes cordes.

Je commence donc par lui lier les poignets, les bras, le buste, les seins, je passe plusieurs fois, les cordes se range les une en dessous des autres forment tout l’Art du shibari original.

Une fois bien et fortement ligotée au niveau du buste, je passe aux jambes qui, je sais que je me répète pour mes fidèles lectrices et peut être lecteur ma passion, mon plaisir, surtout au niveau des chevilles que j’aime ligoter au plus haut point.

Bon bref, je prends d’autre cordes et commence à attacher les jambes de Brigitte, les chevilles, les mollets, au dessus des genoux et les cuisses, quatre liens bien serrés, plusieurs tours pour chaque liens, mettent en évidence les longues et fines jambes de Brigitte.

Ma nouvelle soumise et entièrement ligotée, de bas en haut, il ne lui manque plus que le bâillon, accessoire indispensable pour une domination de qualité.

Je prends un bâillon boule dans mon sac et le place dans la bouche de Brigitte.

Maintenant, ma soumise est toute équipée, à ma merci, je passe ma main sur la peau nue de ces jambes entre les cordes, remonte doucement vers ces cuisses la, je sens bien l’excitation, les frissons qui cours sur sa peau.

Je Prends un bandeau dans mon sac, le passe sur son visage, lui couvre les yeux avec.

Ma soumise est la, sans pouvoir dire un mot, sans pourvoir voir ce qui se passe autour d’elle et en plus, ne peux faire aucun geste.

Je décide de faire un tour en bas, prendre un peu le soleil alors, je viens vers elle, passe ma main dans son décoté, caresse ces seins et ces tétons, lui titille bien sa poitrine et quand elle commence à gémir, je lui annonce que je vais faire un tour en bas et lui demande de m’attendre sans bouger, je revient vite la, Brigitte pousse un cris qui est étouffé par le bâillon, tape des pieds sue la moquette qui atténue le bruit des talons haut sur le sol, elle proteste croyez-vous ?

J’ouvre la porte de l’appartement, referme la porte et fait croire à mon jouet vivant que je suis partie, je me dirige sans bruit vers le salon et l’observe ainsi complètement prisonnière et contrainte à attendre que je revienne.

Elle gigote, essaie de se libérer sans grande réussite et fini par abandonner, essoufflée par ces efforts inutiles.

Au bout d’un moment, je me dirige vers elle avec le plus de discrétion possible, prends ces chevilles par la corde qui les attaches et d’un  coup sec, replies c’celle-ci vers ces fesses retournent du même coup tout son corps pour qu’elle soit sur le ventre.

Cet acte très rapide et des plus fort pour ma soumise persuadée que j’étais partie lui provoque des cris et des gémissements des plus prometteurs, entre peur et excitation, entre violence et rapport intime.

Ma soumise sur le ventre, je relie ces chevilles à ces poignets par une corde, ce qui bloque complètement son corps dans une position des plus contraignante.

Je retire le bâillon boule de sa bouche, lui introduit un god pour qu’elle le suce.

J’effectue de va et viens dans sa bouche avec le god et en même temps, lui offre de jolie fessées sur ces fesses qui ne le sont pas moins.

Un mélange subtile de cris et de gémissements se fait entendre, j’arrête de la fesser et commence à la fouetter au même endroit, doucement et de plus en plus fort tout en lui fessant glisser le god dans sa bouche.

Je retire un de ces escarpins et commence à lui fouetter le talon, c’est curieux chez les soumises les sensations c’apport le fouet sur cette partie du corps ?

Je retire  le god de sa bouche, lui introduit ma verge à la place et lui ordonne cette fois d’effectuer les va et viens elle-même.

Ma soumise s’exécute et m’offre une fellation dans cette pose et soumise à mes liens, j’adore.

Elle se contorsionne comme elle peux pour me satisfaire et au bout d’un moment, je me retire et éjacule sur son visage.

Mon sperme coule sur son visage, la sensation à ce moment pour ma soumise doit être intense, prise vraiment pour un objet de plaisir et non pour une femme.

Je détache ma chose, la laisse reprendre ces esprits, attend sa réaction.

Elle me regarde, souri et me dit qu’elle n’est pas dessue, que les sensations d’être la chose, le jouet du Maître étais intense et plus forte que dans tout ces rêves et ces fantasmes.

Je lui explique que cela est une entrée en matière et que la suite risque d’être encore plus forte.

Ma soumise a l’air d’être contente et à la fois curieuse de voir la suite et surtout de ressentir la suite de la séance.

Je prends ma soumise par les cheveux, l’oblige à ce lever, déboutonne la veste de son tailleur, lui enlève pour mettre à jour cette jolie paire de seins bien gonflés par l’excitation, je fais glisser sa jupe sur ces chevilles.

Voila, ma soumise est entièrement nue, pour seul vêtement ces escarpins.

J’oblige ma chose à ce mettre à genoux devant moi, lui ordonne de déboutonner mon pantalon, de le faire glisser le long de mes jambes, de faire de même avec mon slip, de prendre en main le sexe de son Maître et lui donner du plaisir jusqu’à ce qu’il lui disse d’arrêter quelque en soit le temps et n’acceptera aucune excuse pour arrêter.

Ma soumise commence sa fellation, un peu timidement au début et plus goulument ensuite.

Pendant ce temps, je lui fouet les fesses, le dos, les cuisses avec un martinet ce qui à tendance à augmenter la sensation de domination envers ma soumise.

Je lui donne l’ordre de se diriger vers la table basse à quatre pattes, doucement que je profite bien du spectacle et pendant qu’elle si rend lui fouet les fesses  fermement, des gémissements fort présents se font entendre pendent tout le trajet.

Je lui donne l’ordre de monter sue la table basse, de pencher sa tête de façon à ce qu’elle pose sue le bois de la table, de relever les fesses et avec ces mains, d’ouvrir ces grandes lèvres pour que je la prenne dans cette position d’esclave.

Brigitte s'exécute et une fois en position d’offrande, je la pénètre violement et sans aucune délicatesse toute en lui infligent de sévère fessées.

La, ma soumise hurle sans modération, cris, pleure, gémie ce per elle-même dans ces sensations de femme et mélange ressentie de soumise entre douleur et jouissance.

Le dernier cri de plaisir ce fait  t’entendre, projettent ma soumise sur le sol, essoufflée, éreinté entre douleur et plaisir.

Je me dirige vers elle, la prend par les cheveux et lui ordonne de nettoyer ma verge avec sa bouche pour qu’elle soit propre et qu’il ne demeure aucune trace de ces entrailles.

Complètement vidée et essoufflée, ma soumise se relève et astique son Maître.

A Paine terminé, je l’entraine rapidement vers la salle à manger, la porte sur la table, l’attache fermement en croix sur cette table, la bâillonne  très serrée et la pénètre très profondément tout en lui infligent des claques sur les seins.

Je la prends ainsi un bon moment, ces orgasmes se multiplies et s’enchaines, je détache ces liens qui retienne ces jambes et ces chevilles, la retourne rapidement sur le ventre, lui insert un très gros god dans le vagin et avec ma verge la sodomise.

Ma soumise est folle, ce tortille dans tous les sens comme un robot déréglé, elle est mouillée de partout, sa transpiration ruissellent sur son corps, sa respiration est au maximum et ces battements cardiaques au plus haut.

Ma soumise explose dans un orgasme atténué par le bâillon mais d’une puissance qui fait perdre conscience à ma soumise avec un regard complètement hébété et absent.

Je détache ma soumise, la prends dans mes bras, la pose sur le lit, reste à coté d’elle pour voir si elle revient bien à elle, je le laisse reprendre souffle et vie.

Au bout d’un moment, mon esclave sexuel se relève et me regarde encore essoufflée avec une respiration forte et m’offre un sourire révélateur de plaisir et de satisfaction.

Brigitte me fait part de ces sensation, de ces ressenties et de la puissance de son plaisir et de ces orgasmes d’une force inconnue à ce jour.

Nous nous rhabillons tous les deux et il est tend de se quitter, dans l’attente d’une autre aventure.

Voila l’histoire de ma rencontre avec Brigitte.

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Bien cordialement

Maître Fred

Par Maître Fred - Publié dans : Domination SM - Communauté : coquins de dijon
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Samedi 27 mars 6 27 /03 /Mars 14:04

Bonjour,

J’ai écrit cette page lassé par le fait que je n’ai pas de soumise dans toute mes rencontres, capable de reconnaitre grâce à des supports multimédias en ligne sur mon blog, son état d’esprit, sa soumission, sa passion d’être corps et âme à son Maître.

Alors, cette page à été crée pour me permettre de trouver une femme désirant devenir mon modèle, mon mannequin vedette.

De cette façon, je pourrais enfin vous faire découvrir mes créations, mes cliches et vidéos de ma composition.

Cette personne n’est pas obligée d’avoir de relation sexuel avec moi, je veux juste créer avec elle des saines de soumission en l’attachant, bâillonnent, habillée très classe, en sous vêtement et s’il elle l’accepte, nue.

Je ne demande pas grand-chose, cette personne doit être disponible sur ma région, la Saône & Loire, de préférence dans les alentour de Chalon sur Saône, motivée pour ce genre de photographie et vidéos.

En fait, les photos et vidéos que vous avez vue sur le net vous attirent, vous avez envie d’être à la place de ces femmes soumises et qui aime l’être mais, vous n’avez pas le désir d’être dominée sexuellement, juste le bondage, le shibari.

Alors, je suis votre Homme.

Vous êtes une belle femme, à l’allure féminine et avec beaucoup de style, d’un physique agréable, entre 18 ans et 50 ans.

Si cette proposition vous intéresse, contactez-moi par mail à :

simplebondage@yahoo.fr

Bien cordialement

Maître Fred

Par Maître Fred - Publié dans : Domination SM - Communauté : coquins de dijon
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